1 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
1 l’objet n’a pas d’autre existence que celle d’une fatalité abstraite pesant sur la conscience du sujet. Mais dès que l’homme sec
2 es résistances, veut agir, trouve son objet, — la fatalité disparaît, l’angoisse devient joie de combattre. C’est le moment de l
3 nyme étranger à notre être, et que nous baptisons fatalité , parce que nous sommes ses impuissants objets. Nous sommes très peu
2 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
4 ait dû combattre. (Volonté et pouvoir des masses, fatalités économiques, évolution de l’Histoire, mythes de la gauche et de la dr
3 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
5 ardeur constamment déçue. Le mythe décrivait une fatalité dont ses victimes ne pouvaient se délivrer qu’en échappant au monde f
6 ment cette passion développe un certain nombre de fatalités psychologiques dont les effets ne sont plus contestables. Que l’on so
4 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
7 ent au « coup de foudre », et encore moins à la «  fatalité  » de la passion. Le « coup de foudre » est sans doute une légende acc
8 e une légende accréditée par Don Juan, comme la «  fatalité  » de la passion est accréditée par Tristan. Excuse et alibi qui ne pe
9 e nous a fait voir pourquoi l’on aime croire à la fatalité , qui est l’alibi de la culpabilité : « Ce n’est pas moi qui ai commis
10 ombien de complaisances secrètes se compose une «  fatalité  » ! Quant au coup de foudre, il est censé justifier les écarts de Don