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t passagère, elles se réduisent à des poussées de
fièvre
politique ou idéologique. Mais si ces religions nouvelles ne constitu
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nages n’y semblent naître et se nourrir que de la
fièvre
de l’auteur. » N’est-ce pas, en somme, toujours ainsi que les personn
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’en rien laisser paraître. Oui, c’est toujours sa
fièvre
que le romancier moderne nous propose, mais très diversement vêtue, e
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ents. Il entend bien nous la faire attraper cette
fièvre
mais secrètement, à la faveur de mille « observations » dites objecti
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le thermomètre…) ac. Rougemont Denis de, « La
fièvre
romanesque », Esprit, Paris, janvier 1937, p. 656.
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amour, c’est le désir, c’est l’amour sensuel, sa
fièvre
et son bonheur, un « aspect éternel du cœur humain » — si vous voulez
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r ces lignes : « Devant la crise économique et la
fièvre
nationaliste du tiers-monde, l’heure n’est pas de cracher sur nos val