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des circonstances de notre vie concrète, à seule
fin
d’en démontrer l’absurdité latente et souvent manifeste ? Ce serait f
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té entre les formes de la justice actuelle et les
fins
que lui assigne l’« ordre » bourgeois. Une manifestation comme celle
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usant de ses pouvoirs dans un style adéquat à ses
fins
, jugerait de tels cas sommairement sans avocats ni simulacres d’aucun
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quelque chose de si lamentable, qu’il faille à la
fin
plaider pour le sauver. » Rompre avec le désordre établi, c’est faire
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nt de donner un remarquable fascicule intitulé la
Fin
du bourgeois, au sommaire duquel figurent entre autres les noms de Eu
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ur, non plus que sans volupté. Mais le sens et la
fin
seuls importent, et fondent l’œuvre en dignité. Dignité du temps de l
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s mener cette course épuisante, et s’abattre à la
fin
dans les colonnes des magazines de gauche, pâture des bourgeois snobs
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otal, à l’homme renouvelé. Nous ne clamons pas la
fin
de la littérature des autres au nom d’une littérature à nous. Nous co
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nom d’une littérature à nous. Nous constatons la
fin
d’un art au nom de ce qui juge l’art, — et le recrée. Nos griefs ne s
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ttéraires ; ils sont, ils veulent être humains.
Fin
d’une littérature Je me propose de simplifier. Dans la littérature
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lle les juge pour eux-mêmes, sans rapport à leurs
fins
. Elle dit : c’est bien écrit, mal composé, intéressant ; elle dose de
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s vu déjà que le roman bourgeois servait à toutes
fins
capitalistes. Nous risquons de voir, avant peu, cette même littératur
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naliste. Enseigner, c’est rappeler aux hommes les
fins
de leurs activités. C’est, pour un écrivain, ordonner les moyens de s
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un écrivain, ordonner les moyens de son art à ces
fins
. Il y faut bien autant de talent qu’en exige notre littérature, et qu
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istes étaient tenus à rendre un compte public des
fins
extrêmes qu’ils escomptent pour leurs spéculations les plus gratuites
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donner l’air d’être ou de n’être pas. Comme si le
fin
du fin, c’était de prendre au mot les pauvres hommes préalablement ab
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l’air d’être ou de n’être pas. Comme si le fin du
fin
, c’était de prendre au mot les pauvres hommes préalablement abêtis pa
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c son rire insupportable, et fallait-il être bien
fin
pour le comprendre ? 15. Je n’ai pas suivi le conseil de cet homme,
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reconnaître que la psychologie passe à côté de la
fin
qu’elle s’assigne, qui est l’étude du comportement humain. Il n’est d
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éternité, de cela qui échappe au temps, marque sa
fin
, et le recrée. De ce mystère, je puis seul témoigner dans l’instant o
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pas un droit humain élevé dans l’absolu, mais la
fin
de tout droit humain, et peut-être son contraire. La formule du rappo
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ouvertes, à ajouter des maillons à la chaîne sans
fin
. Nous le léguerons à l’avenir comme le témoin et le symbole de notre
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ffairistes, qui l’ont froidement calculée à seule
fin
de donner le change sur leurs véritables desseins, mais c’est toute u
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à la vision d’une réalité, c’est montrer à quelle
fin
doit tendre cette réalité, — notre culture par exemple. C’est croire
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— notre culture par exemple. C’est croire à cette
fin
, et prouver qu’on y croit. C’est prophétiser pour agir. Seuls les pro
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un, et entendu de tous, il faut que le terme — la
fin
— soit proclamé par des prophètes. Non pas des hommes grandiloquents
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n déchaîné ; il élève rarement la voix, sauf à la
fin
; il ne dit que des choses simples, raisonnables, parfois avec ironie
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t exact de dire qu’elle s’ordonne par avance à sa
fin
. On n’imagine pas d’aborder l’œuvre et la personne de Ramuz d’une faç
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seulement elle doit avoir un commencement et une
fin
, mais des contours, et non seulement des contours, mais un relief et
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trée du cinéma (l’Amour du Monde), approche de la
fin
du monde (Présence de la Mort, Les Signes parmi nous), mythe de l’or
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8 — sont expliqués à la lumière des Écritures. La
Fin
des temps est proche, il faut en témoigner. Caille pénètre dans les c
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e. Vers le soir il éclate tragiquement. Est-ce la
Fin
? Grande heure de terreur et de prière… Puis, « la page du ciel a été
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ommence à vrai dire que là où leur personne prend
fin
. Elle n’est pas dans le contact aussi direct que possible avec l’obje
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avec le commencement de sa personne ; elle prend
fin
là où commence, pour lui, l’impersonnel. Elle est dans le contact aus
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ps de Goethe. Plus encore que sa valeur, c’est sa
fin
qui est contestable, dès lors que cette fin n’est plus la plénitude d
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st sa fin qui est contestable, dès lors que cette
fin
n’est plus la plénitude de l’humain. Il se peut que l’effort réaction
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it mis en demeure de déclarer ses origines et ses
fins
. Voici le temps où l’homme est attaqué par des puissances qui veulent
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tion de la vie, sous la même loi supérieure de la
fin
proposée par le socialisme. Il faut alors définir la culture comme «
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ner à une mesure commune en vue de réaliser cette
fin
commune qu’est l’univers socialisé. ⁂ On connaît le nom de cette mesu
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tion du peuple et de ses conducteurs en vue d’une
fin
à laquelle tout doit s’ordonner. L’assimilation de la culture (et don
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e force, le Plan est bien ce rappel permanent des
fins
dernières conçues par le Parti : l’établissement dans cent ans ou mil
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e ans d’un paradis universel. C’est au nom de ces
fins
dernières, et de la conscience aiguë qu’ils en possèdent, que les jeu
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vient qu’après. Ainsi tout se trouva soumis à des
fins
purement matérielles, dont on espérait qu’il naîtrait spontanément un
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est encore qu’une immense caricature ; et que les
fins
qu’elle lui propose ne valent pas le prix qu’on les paye. Mais d’autr
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is en œuvre par les deux régimes, alors que leurs
fins
sont hostiles et leurs situations de départ différentes, prouve que l
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ucune ne sait plus, ou n’ose plus avouer à quelle
fin
elle conduit ses adeptes. Si vous ne faites rien, que de nous critiqu
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s symboles ne signifient rien, si l’on oublie les
fins
dernières, le grand dessein, la religion qui la supportent et l’utili
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fausse ; elle n’est que plus ou moins fidèle à la
fin
qu’elle prépare et représente. Seul, le jugement porté sur cette fin
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et représente. Seul, le jugement porté sur cette
fin
déterminera notre jugement sur cette mesure. Si donc nous voulons res
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termine toute mesure : il faudra commencer par la
fin
! Et non pas emprunter ici ou là, dans les temps révolus, ou l’espace
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nger, certains signes créés par d’autres pour des
fins
qui ne sont pas les nôtres. On ne refait une culture qu’en retrouvant
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de la misère, mais il exige bien davantage que la
fin
de cette misère et de ses causes immédiates. Il n’exige pas seulement
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histoire et l’avenir de leur génie. (France de la
fin
du xviiie , Russie de 1917, Allemagne et Italie de l’après-guerre.) A
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s. Leur lieu saint nous demeure impénétrable. Nos
fins
sont d’autres fins, et la mesure qui doit les incarner ne sera invent
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nous demeure impénétrable. Nos fins sont d’autres
fins
, et la mesure qui doit les incarner ne sera inventée que par nous. No
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lus clairement que jamais nos buts prochains, nos
fins
dernières. Si nous condamnons ces religions, c’est dans leur terme, a
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: « Tout me concerne », et ce sous-titre, vers la
fin
: « Retour à la passion ». Et maintenant nos routes se joignent. x.
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s il y a aussi un insolent petit blanc aux pattes
fines
. Tout cela vautré comme sur une plage mondaine. Après un certain temp
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naissance, et telle qu’il la développait pour ses
fins
propres, individuelles, individualistes. « Le moi est anéanti, écrit
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our n’admet point le mariage, car il n’a pas pour
fin
suprême la vie, mais bien la mort libératrice des liens terrestres :
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De leur coexistence dans nos vies surgissent sans
fin
des problèmes insolubles, et ce conflit menace en permanence toutes n
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nostalgie dont il ignore l’origine autant que la
fin
. Son illusion de liberté repose sur cette double ignorance. Le passio
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re essentielle de la passion mystique d’être sans
fin
terrestre — et c’est par là que cette passion se détachait des rythme
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plus même être fidèle, puisqu’elle n’a plus pour
fin
la transcendance. Elle épuise l’une après l’autre les illusions que l
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sent sans l’imaginer comme absent, une fuite sans
fin
devant la possession. Aimer d’amour-passion signifiait « vivre » pour
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dicalement l’ambiance morale de la Russie vers la
fin
du premier plan de cinq ans. Le mariage se trouva restauré sur des ba
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qu’avant tout et après tout, à l’origine et à la
fin
de la passion, il n’y a pas une « erreur » sur l’homme ou Dieu — a fo
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nte d’avoir parfois douté d’eux-mêmes ; mais à la
fin
il n’écrase pas seulement ce philistin qui se contente d’épouser la v
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rchie évidente, encore ne sauriez-vous prévoir la
fin
d’une union faite en connaissance de causes. Il a fallu, dit-on, des
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moi-le-monde » ! Mais l’amour du mariage est la
fin
de l’angoisse, l’acceptation de l’être limité, aimé parce qu’il m’app
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amais distincte, mais qui offre une alliance sans
fin
, initiant un dialogue vrai. Alors l’angoisse comblée par la réponse,
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ur adopter une vérité meilleure. Nous sommes sans
fin
ni cesse dans le combat de la nature et de la grâce. Sans fin ni cess
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dans le combat de la nature et de la grâce. Sans
fin
ni cesse, malheureux puis heureux. Mais l’horizon n’est plus le même.
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courtois une description si enthousiaste qu’à la
fin
, la conception chrétienne que je lui oppose « paraît quelque peu exsa
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’avais commencé de lire le numéro d’Esprit par la
fin
, comme tout le monde. Cette réponse écrite, j’ai lu votre « Tristesse
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nner un sens, voir au-delà, relier les moyens aux
fins
. La volonté de prendre conscience. J’ai dit qu’ils rêvent. J’ajouter