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ssion d’un livre plus profondément rêvé qu’écrit (
fort bien
écrit du reste). Il laisse deviner trop de choses pour qu’on lui pard
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eux des partisans sincères du régime. On comprend
fort bien
les raisons qui les empêchaient jusqu’ici de prendre conscience du da
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donc au public. Ce sont des souvenirs d’enfance,
fort bien
réinventés, et contés dans un style un peu chantant, voilé, énigmatiq
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e, dans l’une et l’autre perspective, caractérise
fort bien
l’opposition. Aux yeux de l’Église, l’adultère était tout à la fois u
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et à la « réciter » comme dit Montaigne, sachant
fort bien
que je ne convaincrai pas une seule victime du mythe profané. Mais il