1 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
1 renouvellements nécessaires, puissent offrir aux foules le spectacle vivant de leurs travaux. En liaison étroite avec l’ensei
2 susciter l’élan des intelligences, à attacher les foules  ? […] Ce Palais doit être construit en dur. Il doit survivre à l’Expo
3 rit de l’eau, se lava les mains en présence de la foule et dit : Je suis innocent du sang de ce juste. Cela vous regarde. » N
4  ?38 Les clercs ont pris parti : les uns avec la foule , les autres avec Pilate. Les uns trahissant grossièrement, les autres
5 clercs de droite, des clercs de gauche, et de la foule . Pourquoi n’a-t-il pas dit seulement : Mon royaume n’est pas de ce mo
6 bstraits la plaque sensible d’un micro devant une foule élégante et muette, — c’est une chose, c’est même celle qu’on fera. M
7 voir au-delà et plus profond que ne peut voir la foule . Il faut donner un sens à sa vision. Oserons-nous dire que c’est la v
2 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
8 e roulais ces pensées, hier soir, debout parmi la foule qui n’avait pas trouvé de places assises dans une halle de 30 000 pla
9 s attendaient. J’étais venu pour écouter aussi la foule . Je me trouvais au milieu d’ouvriers, de jeunes miliciens du Service
10 s d’hystérie : rien n’est plus discipliné que ces foules . Il ne s’agit pas d’un tribun déchaîné ; il élève rarement la voix, s
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
11 er les maisons : ce qui m’intéresse ici, c’est la foule . » Je me souviens alors de Goethe à Venise : « Je ne suis encore entr
12 Saint-Marc. Il y a de quoi faire au-dehors, et la foule m’intéresse infiniment… » Goethe poursuit : « Aujourd’hui je me suis