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tâche restauratrice de l’esprit, dévolue à notre
génération
, apparaît maintenant évidente : remontant à la racine du mal, nous ré
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ujours plus rageusement ? Nous avons vu plusieurs
générations
mener cette course épuisante, et s’abattre à la fin dans les colonnes
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d’ailleurs considérer comme le bien commun de sa
génération
. 1. L’indéfinissable concret Il ne faut pas estimer que les obje
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ait voir s’attacher les romanciers de la nouvelle
génération
: cet appel à la vie communautaire, ce réalisme plein, ce sens du con
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à l’avenir comme le témoin et le symbole de notre
génération
. I. Résidence de l’Esprit dans la cité actuelle En publiant ce
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s dont dispose l’URSS ; la pression des nouvelles
générations
, dont les chefs qui les ont formées avouent déjà qu’elles leur parais
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ire) ; une longue médiation sur les maîtres d’une
génération
et le passé de la race qu’ils prolongent (Barrès, Péguy, Romain Rolla
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es j’ai pensé : document sur les déceptions d’une
génération
. Puis j’ai trouvé ce cri : « Tout me concerne », et ce sous-titre, ve
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e une évasion, encore un exotisme à l’usage d’une
génération
sans foi. 62. Payot, 1932, page 135. z. Rougemont Denis de, « [Co
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passant, que par rapport au snobisme furtif d’une
génération
littéraire. Nous sommes heureux de lire enfin un manuel où Rimbaud, S
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ie du pays. « Communauté », mot de passe de cette
génération
, n’aurons-nous fait que l’appeler de loin, ne sera-t-elle pour nous q
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jour à l’Union pour la vérité, une « querelle des
générations
» dont il définissait comme suit les éléments : « L’ancienne générati
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éfinissait comme suit les éléments : « L’ancienne
génération
, celle dont les membres avaient environ la trentaine en 1900 fut une
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bres avaient environ la trentaine en 1900 fut une
génération
heureuse ; la génération d’après-guerre, en appelant ainsi l’ensemble
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rentaine en 1900 fut une génération heureuse ; la
génération
d’après-guerre, en appelant ainsi l’ensemble des hommes qui ont aujou
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ommes qui ont aujourd’hui de 25 à 40 ans, est une
génération
particulièrement éprouvée par les circonstances. » D’où résulte que l
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me. Mais lorsqu’un « jeune » fit remarquer que la
génération
des anciens est essentiellement celle de Barrès, de Maurras, de Sorel
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malheureuse », — M. Benda refusa de répondre. La
génération
des anciens, des heureux, des intellectuels riches, c’est M. Benda, e
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nda attribue à la jeunesse, convient en fait à la
génération
des « anciens ». À cette erreur totale sur les faits, M. Benda ajoute
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teurs trop pressés ou intéressés, il existe une «
génération
» d’écrivains — prenons ces termes au sens le plus large — qui pour n
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un poids) qui suffit presque à distinguer cette «
génération
» nouvelle de celle qui s’illustra par le surréalisme. Littérature pr
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ul jugement métaphysique et théologique de chaque
génération
. 3. Ceci dit, il me paraît utile de poser ce problème, très brièvemen
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pour « beaux » se produit normalement dans chaque
génération
, de même que chaque époque de la mode préfère soit la tête, soit le b