1 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
1 laire.) Le « sérieux » universitaire consiste, en gros , à déconcrétiser33 les disciplines de la pensée. C’est ainsi que l’hi
2 rope d’aujourd’hui. Ce projet positif présente un gros défaut pratique : il conduit à poser de vraies questions sérieuses. I
2 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
3 remise. La chienne se traîne. La chatte est déjà grosse . Une puissance inexorable s’est emparée de l’espèce, tourmente les bê
3 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
4 ingria, de trouver chaque matin sur leur table un gros bol de café au lait. Qu’on m’entende bien : nous avons eu Amiel, et n
4 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
5 e leurs sujets, de ce mépris de la vie humaine en gros et en détail, de ce refus d’ouvrir leurs frontières, de l’esclavage o
6 est un de nos grands marchés, le Japon un de nos gros clients. C’est là que les choses pourraient se gâter… Quant à nos bon