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gèrement pris par toute espèce de sceptiques ou d’
heureux
ignorants, — il est le seul. Et l’on n’en peut sortir sans quitter, d
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nt-ils au-delà du romantisme allemand — qu’on est
heureux
pourtant de les voir découvrir, comme l’étymologie de leur pensée ? I
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ns, ou les liens du métier, ou certains accidents
heureux
, entre des jeunes bourgeois, des jeunes paysans et ouvriers plus ou m
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parfois trop furtive, d’autres fois si précise et
heureuse
, comment ne pas distinguer avec joie la plupart des thèmes humains au
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on nomme les « techniciens ». Cette mode, parfois
heureuse
, repose en fait sur un malentendu. On respecte le technicien et on le
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aît dans une soirée pure et le baiser d’un couple
heureux
. Rarement la forme authentique de Ramuz atteignit une autorité compar
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substituer à la réalité le rêve d’une vie plus «
heureuse
». C’est encore une aspiration à la vie sublime, tout comme l’autre,
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ici, c’est de persuader aux gens qu’on est moins
heureux
qu’eux partout ailleurs. L’on n’y peut arriver qu’en empêchant soigne
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e furtif d’une génération littéraire. Nous sommes
heureux
de lire enfin un manuel où Rimbaud, Sénancour et Stendhal trouvent le
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ut ma bonne conscience. Au fond, je me sens assez
heureux
de cette découverte en moi d’une superstition réelle, capable de me f
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ble de me faire agir, ou plus exactement, je suis
heureux
de l’aveu que je viens de m’en faire. Comment ne l’ai-je pas fait plu
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de leurs publications que ne marque une invention
heureuse
et une audace très raisonnable. Ils restaurent depuis quelques années
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t environ la trentaine en 1900 fut une génération
heureuse
; la génération d’après-guerre, en appelant ainsi l’ensemble des homm
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irconstances. » D’où résulte que les anciens, les
heureux
, méprisaient l’action politique, — cultivaient la vérité désintéressé
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udel, de Rolland, de Bergson, qui tous, bien qu’«
heureux
» (selon Benda) ont défendu les thèses que M. Benda attribue à notre
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efusa de répondre. La génération des anciens, des
heureux
, des intellectuels riches, c’est M. Benda, et personne d’autre. Et lo
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qui estimait que la religion devait être un amour
heureux
, un mariage avec sa vertu. Car l’amour du pécheur pour Dieu est « ess
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dans une perspective ouverte et dans l’attente —
heureuse
ou malheureuse — du parfait. Je sais que je tente une entreprise foll
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utiants et empiriques, d’une science du « mariage
heureux
»). Il faut le reconnaître honnêtement : le problème qui nous est pos
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traire, dont ils s’engagent à assumer les suites,
heureuses
ou non. Ce n’est pas là un éloge du « coup de tête » : car tant que l
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i s’opposait aux yeux de Kierkegaard à un mariage
heureux
selon le monde. Ici l’obstacle indispensable à la passion est d’une n
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conscience de l’amour, mais seulement la sobriété
heureuse
de l’agir. Dans l’analogie de la foi, l’on peut alors concevoir que l
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t de la grâce. Sans fin ni cesse, malheureux puis
heureux
. Mais l’horizon n’est plus le même. Une fidélité gardée au nom de ce
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Europe qui inspirait la fureur de Sartre. Je suis
heureux
que Rougemont souligne lui-même ce qui était, effectivement, un aspec