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t une révolution — et la plus profonde de toute l’
histoire
—, le protestantisme se doit d’être révolutionnaire dans la mesure mê
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s : genèse des mythiques lois de l’économie, de l’
histoire
. Lorsque l’homme renonce à créer, son « travail » n’est plus que souf
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ure. Les singes gagnent leur vie et ne font pas d’
histoires
. Ils ne font pas tant de publicité et de plans quinquennaux. Leurs mo
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e. Et d’un seul trait miraculeux… P.-S. — Cette
histoire
de la Chine se suffit. J’aurais pu faire l’économie du reste. Mais no
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dre en violences. Il n’y a pas d’exemples, dans l’
histoire
, qu’une littérature sans nécessité intérieure, — c’est-à-dire sans me
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ère, ha ! ha ! ha ! Ça me rappelle une bien bonne
histoire
, vous devriez lire ça, Clochemerle que ça s’appelle, je ne sais plus
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a écrit le bouquin. Ah ça alors ! Tenez, c’est l’
histoire
d’une municipalité qui fait construire un des trucs-là juste en face
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cte. Dans l’homme entièrement humain, tout serait
histoire
, présence, illustration et non explication, incarnation et non concep
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s contenus, telles que nous les constatons dans l’
histoire
, font figure de coups de force contre toute raison et causalité clair
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our initier un temps nouveau. De cette rupture, l’
Histoire
peut témoigner, mais après coup, car les effets seuls sont visibles.
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arfaite se réduirait purement et simplement à son
histoire
, à l’énoncé des témoignages visibles qu’elle produit. Dans ce sens, e
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rist est la limite atteinte de la personne dans l’
histoire
, le fait extrême, le concretissimum à partir duquel nous puissions pe
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et il demeure l’initiation fondamentale de toute
histoire
. C’est par le verbe seul, créant de rien, que « l’impossible, ici, de
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aient rien qui ont écrit les pages héroïques de l’
histoire
, et non les gens âgés qui possédaient tout. Ces jeunes Allemands qui
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effort des autres peuples. Dans un cadre chargé d’
histoire
et rayonnant de beauté, au bord de la Seine royale, les enchantements
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la biologie, les mathématiques, l’archéologie, l’
histoire
des arts, des techniques, des littératures, depuis Lavoisier, Faraday
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e — ou « injustice » — correspond toujours dans l’
histoire
au maximum de spiritualisme distingué. Le culte des principes en soi
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ie ? Nous essaierons plus tard31 de saisir dans l’
histoire
quelques raisons secrètes de cette complicité. Pour l’instant, néglig
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3 les disciplines de la pensée. C’est ainsi que l’
histoire
devient un ensemble de lois, et non plus une chronique des actes. On
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a philosophie, non contente d’avoir sophistiqué l’
histoire
, elle veut se réduire à son tour à une histoire des doctrines, à une
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l’histoire, elle veut se réduire à son tour à une
histoire
des doctrines, à une filiation de systèmes, qu’elle décrit sortant le
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es mille fois — au sujet de la sociologie ou de l’
histoire
de la littérature. Je ne veux indiquer que l’amorce d’une critique gé
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Saint-Esprit se moque de nos psychologies. 36.
Histoire
du peuple d’Israël, t. III, p. 497. Le vieillard qui écrit cela, est-
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et marchands législateurs et pédagogues. Ainsi l’
histoire
ou l’action des « grands desseins » peut être déchiffrée précisément
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esseins » peut être déchiffrée précisément dans l’
histoire
ou l’action des signes visibles qui symbolisaient leur grandeur. Et l
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es visibles qui symbolisaient leur grandeur. Et l’
histoire
des mesures communes ordonnées à ces grands desseins et ordonnant tou
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t ordonnant toutes choses à leur service, c’est l’
histoire
des objets, des langages, des génies ou des organismes en lesquels s’
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circonscrit de la terre, en un temps limité de l’
Histoire
, sous les figures d’un ciel unique. C’est là seulement qu’elle se rév
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de l’Europe moderne ont découvert le sens de leur
histoire
et l’avenir de leur génie. (France de la fin du xviiie , Russie de 19
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nous perdrons notre temps et notre chance dans l’
histoire
à critiquer ce que d’autres ont dû faire ; et alors, d’ici vingt ou c
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es traditions, mais encore notre situation dans l’
histoire
contemporaine nous indiquent aujourd’hui plus clairement que jamais n
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t clinique ? Trop d’élégances littéraires. Ou une
histoire
imaginée pour le plaisir de conter ? Trop de détails intimes semblent
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te-forme d’où s’étale à la vue tout un quartier d’
histoire
populaire, celui de Juillet 1789 et de Juillet 1830. » De tels passag
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mont Denis de, « [Compte rendu] Albert Thibaudet,
Histoire
de la littérature française de 1789 à nos jours », Esprit, Paris, ma
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Jacques Benoist-Méchin,
Histoire
de l’armée allemande depuis l’armistice (mars 1937)ai Ce livre eût
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é classique d’officier en retraite. C’est toute l’
histoire
de la première révolution allemande (1918-1919) qui se recompose auto
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enis de, « [Compte rendu] Jacques Benoist-Méchin,
Histoire
de l’armée allemande depuis l’armistice », Esprit, Paris, mars 1937,
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cience. C’est ce mari-là qui aura payé le billet,
histoire
de voir s’il a la chance. Seulement, avoir la chance, avoir la veine,
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n’est pas revenu. C’est évidemment absurde, cette
histoire
. Je le vois bien. Et en même temps, je vois que je mentirais si j’écr
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a mort. Cas purement idéal bien entendu puisque l’
histoire
ne connaît pas d’arrêt. En réalité, sous le couvert d’un équilibre ap
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des masses, fatalités économiques, évolution de l’
Histoire
, mythes de la gauche et de la droite, divinité du Führer, omniscience
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i, tel que l’ont fait sa nature et sept siècles d’
histoire
: le point de vue du personnalisme. ⁂ La question de la neutralité es
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lors d’être assurés en fait ; comme le démontre l’
histoire
récente du capitalisme anonyme et des révolutions qu’il a fait naître
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es thèses qu’on y a soutenues. La géographie et l’
histoire
, l’agencement de nos institutions, les méfiances de C. F. Ramuz et la
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l’enfance, probablement sans précédent dans notre
histoire
européenne. Quant au mariage, il fut proprement balayé durant la péri
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dens demande que l’on remplace dans les manuels d’
histoire
littéraire Mme de Sévigné par Louise Labé, La Rochefoucauld par Retz,
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l est vrai qu’elle ne s’est développée dans notre
histoire
et nos cultures qu’à partir des xiie et xiiie siècles, et par l’imp
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débrouiller certains problèmes posés en termes d’
histoire
et de psychologie : mais les constatations tout objectives auxquelles
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trouve dans la chevalerie », écrit Henri Pirenne,
Histoire
de l’Europe, p. 113. 105. Il y a l’Apocalypse, dira-t-on. Mais les c
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ante et si rare !) que mon livre « est un livre d’
histoire
» et que je ne suis pas un historien. Je vois bien que vous non plus
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mais simplement je constate que vous parlez de l’
histoire
comme quelqu’un qui y croit encore, et qui escompte que le lecteur y
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imagination. De même, pour composer un « fait » d’
histoire
, il faut un certain nombre de renseignements fixes et une capacité fa
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prétends nullement que mon livre soit un livre d’
histoire
, dans ce sens « critiquable » du terme. Ce n’est pas même de l’histoi
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« critiquable » du terme. Ce n’est pas même de l’
histoire
littéraire. C’est bien plutôt, s’il faut une étiquette, un livre de t
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ais bien plutôt le moment décisif. Par exemple, l’
histoire
n’a pour moi d’autre sens que d’illustrer certaines décisions actuell
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bien qu’en tant qu’interprète et théologien de l’
histoire
, je n’ai pas été sans découvrir dans votre article une faculté d’inte
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) Ainsi toute la partie de ma lettre relative à l’
histoire
« objective » se trouve être un mauvais résumé des idées de Raymond A
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d’ailleurs retrouvées à leur tour chez Hamann ! L’
Histoire
comme prophétie à rebours, par exemple.) Rencontre amusante, instruct
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es se dissolvent l’une après l’autre, sans trop d’
histoires
. Ce qui veut dire que pendant quatre ans, l’Amérique a « nationalisé
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dération. Ceux qui perdront la face aux yeux de l’
histoire
, ce seront ceux qui auront dit que l’Europe était finie, quand il s’a