1
olkstum, ou les efforts d’un Eugen Rosenstock — l’
historien
des Révolutions européennes — dans le domaine du service civil et des
2
en faillite ? Comptabilité bonne peut-être pour l’
historien
de la littérature. Nous n’avons pas le cœur à ces injures. Le surréal
3
echnicien de la pensée34 ». Quand ils ne sont pas
historiens
, les « philosophes » de l’Université s’occupent de psychologie. Mais
4
féconds et authentiques de ce siècle. J’imagine l’
historien
futur étudiant l’inventaire de Petit, comme nous lisons le Journal d’
5
il s’agit de réfuter les hypothèses d’un collègue
historien
. Je ne nie pas la valeur intrinsèque de la thèse que défend M. Lamm e
6
chose se fasse, la seule question qui se pose à l’
historien
, au sociologue, c’est de savoir quel mécanisme social va se déclenche
7
st un livre d’histoire » et que je ne suis pas un
historien
. Je vois bien que vous non plus ne voulez pas l’être comme tant d’aut
8
rent et le restent. Toutefois, c’est bien comme «
historien
» que vous m’attaquez, et certes je ne fais pas de ce mot une injure,
9
t. Je ne crois pas aux « faits objectifs » dont l’
historien
prétend communément « partir »109. Je crois qu’il y a un matériel hét
10
stes et de paroles, matériel avec l’aide duquel l’
historien
compose des faits, comme le poète une poésie. Que faut-il pour écrire
11
tation. Or c’est l’erreur commune, bien moins des
historiens
— qui ne peuvent plus se faire d’illusions — que du public qui croit
12
te réponse écrite, j’ai lu votre « Tristesse de l’
historien
». (Mounier et Niklaus, qui sortent de chez moi, peuvent témoigner de
13
faire confiance à l’intuition. » — Tristesse de l’
historien
n’est-ce pas ? Et c’est pourtant celui-là même qu’avec combien de rai
14
ils auront bientôt fait de retrouver la joie de l’
historien
!) 109. Je lisais hier encore dans une étude de Lucien Febvre : « L
15
ns une étude de Lucien Febvre : « La méthode de l’
historien
, c’est partir des faits… modestement ». Dans la mesure où c’est réell