1 nfin dans quelles passions profondes le mouvement hitlérien est né et a pris son élan. C’est une admirable réussite littéraire, c

2 t de l’espérance insensée qui possède la jeunesse hitlérienne . Leurs épreuves ne seraient-elles pas comme le signe de leur élection

3 jour qu’il considérait à cet égard la révolution hitlérienne comme un phénomène incomparablement plus important que l’établissemen

4 aire. Il faut mesurer tout le volume du fanatisme hitlérien pour savoir penser au bout du compte : « La vraie lutte commence là »

5 nir culturel des régimes totalitaires. Le composé hitlérien d’irrationalisme romantique et de positivisme jacobin, et d’autre par

6 et l’écrasante majorité en faveur de l’Allemagne hitlérienne lors du plébiscite de la Sarre. Prenons-y garde ! Ces deux faits sont

7 ts définissent exactement le pseudo-personnalisme hitlérien . (Voir notre revue des revues, sur les Cahiers franco-allemands.) 67

8 estion de ce cliché importé d’URSS ou d’Allemagne hitlérienne  : « retrouver le contact avec les masses ». Les masses, comme telles,

9 nheur » strictement individuelle. Or la dictature hitlérienne , du fait qu’elle prétendait se fonder sur une base raciste et militai