1 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
1 s et des clercs s’accorde à révoquer en doute ? L’ imagination de la personne à l’état pur resterait à nos yeux une espèce d’utopie
2 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
2 on imaginer un spectacle plus propre à éveiller l’ imagination , à attirer la curiosité, à susciter l’élan des intelligences, à attac
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
3 a : ni l’un ni l’autre. Car il se tient, avec son imagination , dans cette région qui n’est ni du dedans ni du dehors, qui est conta
4 e la création imaginée. Il faut rendre à ce mot d’ imagination son sens fort : c’est la natura naturans. (Nous pourrons dire aussi,
5 ntage de ses lois, elle tend à les substituer à l’ imagination concrète du réel. Les faits se raréfient : anecdotes ou exemples à l’
6 à d’autres formes. Et c’est encore l’office de l’ imagination c’est-à-dire de l’activité qui préside à la formation du réel. Ici pl
7 gique. C’est en général l’irruption d’une forme d’ imagination nouvelle dans un village ou une contrée, plus rarement chez un indivi
8 gradés, désunis, informes ; et par l’effort d’une imagination qui retrouve leur raison d’être, les pousser jusqu’à l’expression de
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)
9 rêveur éveillé — pour le poète — l’action de son imagination . Qu’il formule cet espoir ou ce désespoir et ses rapports avec le mon
5 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
10 in pour le confort et le conforme ; d’un défaut d’ imagination  ; d’une timidité méprisable ; d’un calcul d’intérêt sordide… L’habitu
6 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
11 raintes rhétoriques et de la liberté, disons de l’ imagination . De même, pour composer un « fait » d’histoire, il faut un certain no