1
s et des clercs s’accorde à révoquer en doute ? L’
imagination
de la personne à l’état pur resterait à nos yeux une espèce d’utopie
2
on imaginer un spectacle plus propre à éveiller l’
imagination
, à attirer la curiosité, à susciter l’élan des intelligences, à attac
3
a : ni l’un ni l’autre. Car il se tient, avec son
imagination
, dans cette région qui n’est ni du dedans ni du dehors, qui est conta
4
e la création imaginée. Il faut rendre à ce mot d’
imagination
son sens fort : c’est la natura naturans. (Nous pourrons dire aussi,
5
ntage de ses lois, elle tend à les substituer à l’
imagination
concrète du réel. Les faits se raréfient : anecdotes ou exemples à l’
6
à d’autres formes. Et c’est encore l’office de l’
imagination
c’est-à-dire de l’activité qui préside à la formation du réel. Ici pl
7
gique. C’est en général l’irruption d’une forme d’
imagination
nouvelle dans un village ou une contrée, plus rarement chez un indivi
8
gradés, désunis, informes ; et par l’effort d’une
imagination
qui retrouve leur raison d’être, les pousser jusqu’à l’expression de
9
rêveur éveillé — pour le poète — l’action de son
imagination
. Qu’il formule cet espoir ou ce désespoir et ses rapports avec le mon
10
in pour le confort et le conforme ; d’un défaut d’
imagination
; d’une timidité méprisable ; d’un calcul d’intérêt sordide… L’habitu
11
raintes rhétoriques et de la liberté, disons de l’
imagination
. De même, pour composer un « fait » d’histoire, il faut un certain no