1 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
1 lle ébranle, mieux informée des problèmes qu’elle incarne , parce qu’elle tiendra la mesure de l’humain et qu’elle créera dans l
2 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
2 hiffrable d’une action. Jésus-Christ est le verbe incarné , la vocation toujours présente, la parole qu’on n’entend ni ne voit a
3 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
3 t se « boucher les yeux… » Cet homme est l’Esprit incarné , l’Esprit qui s’est rendu mortel, car c’est ainsi qu’il peut changer
4 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
4 ssant esprit de la nation, que le Führer est venu incarner , lui le pur, le simple, l’ami et le libérateur invincible… « Une ère
5 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
5 ins sont d’autres fins, et la mesure qui doit les incarner ne sera inventée que par nous. Non seulement nos meilleures tradition
6 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
6 nous nous refusons à voir, à dire, à illustrer, à incarner aux yeux de tous les grandes et fortes raisons de notre neutralité, c
7 mais au nom du principe fédéral que nous avons à incarner , on pourra dire que la Suisse a retrouvé sa raison d’être, et d’être