1 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
1 ations les plus artificielles, aux découpages à l’ infini de la « matière » vivante et organique, à la multiplication des point
2 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
2 lle, et celle-ci une autre, et ainsi de suite à l’ infini , de sorte que pour finir on est chacun tout seul sur son petit bout d
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). Erskine Caldwell, Le Petit Arpent du Bon Dieu (novembre 1936)
3 es de la vie sexuelle, la vision d’une jouissance infinie , tout cela ne fait que donner satisfaction au besoin humain de substi
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). Défense de la culture (janvier 1937)
4 ades, les miliciens, qui jouent avec lui avec une infinie gentillesse. Ne donne-t-on pas au canari de la duchesse chaque jour s
5 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
5 du désir charnel ; mais tandis que pour Tristan l’ infini , c’est l’éternité sans retour où s’évanouit la conscience douloureuse
6  ; et rien ne le flatte davantage que le mirage d’ infini dépassement entretenu par le souvenir du mythe. Essayer de prendre co
6 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
7 promesse éternellement trahie : eritis sicut dei. Infinie naïveté du moraliste qui prétendait détourner l’homme de cette voie m
8 e plus qu’elle est salutaire. Cela se discute à l’ infini . Et cela nous sera des plus utile dès que les hommes se régleront sur
9 voici : cet homme mort au monde, tué par l’amour infini , devra marcher maintenant et vivre dans le monde comme s’il n’avait p
10 urgeois. Et pourtant « il a tout renoncé dans une infinie résignation, et s’il a tout ressaisi par la suite, c’est en vertu de
11 ire de la foi). Il fait sans cesse le saut dans l’ infini , mais avec une telle correction et une telle certitude qu’il retombe