1 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
1 ans l’histoire, qu’une littérature sans nécessité intérieure , — c’est-à-dire sans message positif et populaire — n’ait été finalem
2 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
2 ne forme, une image vivante : est-ce extérieur ou intérieur  ? L’artiste répondra : ni l’un ni l’autre. Car il se tient, avec son
3 t élémentaire. Ainsi les changements de temps à l’ intérieur d’une même phrase. Je ne crois pas qu’il soit possible de les ramener
4 ier sens. 46. C’est là ce qu’il appelle sa « vie intérieure  », même s’il est résolument laïque. Rien n’est plus facile à concevoi
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
5 ’est solide et fécond que s’il résulte d’un ordre intérieur . Et cet ordre intérieur ne se crée pas à coups de décrets d’urgence e
6 e s’il résulte d’un ordre intérieur. Et cet ordre intérieur ne se crée pas à coups de décrets d’urgence et de propagande de masse
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
7 — son livre est de 1915 — déclare que les visions intérieures de Swedenborg « ne sont pas autre chose » que des photismes, « phénom
8 rprétation totalement différente de ces « visions intérieures  » ; et cette interprétation rejoint très exactement celle que Swedenb
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
9 re statut européen de neutralité, et notre statut intérieur de confédération de cantons, découlent des conséquences précises dans
10 questions de politique étrangère, ou de politique intérieure du voisin, avec d’autant plus de violence qu’elle y court moins de ri
11 armonie intime, ou dans l’opposition tragique à l’ intérieur d’une même « personne », des vocations spéciales d’autres nations. Et
6 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
12 le à « cette éloquence passionnée, à cette beauté intérieure  », que je tiens tout cela pour une « conception dépassée » ; et que j
13 le à cette éloquence passionnée et à cette beauté intérieure , si je croyais cette conception dépassée, je n’aurais pas écrit mon l
14 rne ! Et c’est si « beau », si « éloquent », si «  intérieur  », si « riche », si « émouvant », que ce n’était pas trop de tout un