1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
1 il trouve dans l’acte sa mesure, son rythme et sa joie . Une totalité. Et s’il divise alors le temps de ses journées, c’est p
2 e désespérée de Staline pour introduire un peu de joie dans une activité qui est la négation même de la création ; activité
2 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
3 oir. Et son angoisse est de n’en pas trouver ; sa joie , de provoquer le corps-à-corps avec l’objet. Par où l’on voit que le
4 bjet, — la fatalité disparaît, l’angoisse devient joie de combattre. C’est le moment de la présence de l’homme au monde et à
5 e. 3. La présence de l’homme est un acte La joie de l’homme, ou sa douleur, tels sont les signes de son existence conc
6 ni une angoisse, ni toujours une plénitude de la joie , ni jamais rien qui fût à moi tel que j’étais, ni rien que j’aie, mai
3 1935, Esprit, articles (1932–1962). Roger Breuil, Les Uns les Autres (avril 1935)
7 écise et heureuse, comment ne pas distinguer avec joie la plupart des thèmes humains auxquels Esprit voudrait voir s’attache
4 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
8 s la Russie nouvelle, c’est une santé énorme, une joie au travail dont rien ici ne peut donner l’idée ; mais c’est aussi et
9 après cela, commencera la conquête d’un avenir de joie et de force. On a touché le fond de la misère, on l’a vécue, on a cel
5 1936, Esprit, articles (1932–1962). Note sur nos notes (novembre 1936)
10 t de refaire une amitié humaine d’où jaillisse la joie créatrice. Il faut bien constater d’abord qu’elle n’est plus là. Nous
6 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
11 isterons jamais assez. Mais il faut dire aussi la joie que nous éprouvons à voir Gide, en dépit de tout, et avec tant de cou
7 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
12 qui décrit et embrasse les trois dimensions de la joie , est dit aussi par le vallon des oliviers et par sa jeune nudité. Pas
13 ice ? À moi d’abord, très certainement. C’est une joie qui vaut bien les ennuis du voyage, le temps perdu et les fatigues, b
14 , bien qu’elles paraissent souvent vaines, que la joie de voir son public, de s’entretenir avec ces hommes et ces femmes pou
15 l’orage. Vocabulaire insuffisant pour décrire la joie naturelle. Souvent éprouvé. Les grands soulèvements de l’instinct ver
16 t ce qui surgit formidablement à l’approche de la joie , elle se sent gênée, pauvre et maladroite, pareille à cette clarté lu
8 1938, Esprit, articles (1932–1962). Revue des revues (septembre 1938)
17  Je doute que le prolétariat français éprouve une joie particulière à savoir qu’il ne travaille plus pour enrichir M. Citroë
9 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
18 se sauver et d’accéder à une vie supérieure, la «  joie suprême » d’Isolde agonisante. Fidélité qui consume la vie, mais qui
10 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
19 maîtres, ils auront bientôt fait de retrouver la joie de l’historien !) 109. Je lisais hier encore dans une étude de Luci