1
a qu’un rapport de lâcheté entre les formes de la
justice
actuelle et les fins que lui assigne l’« ordre » bourgeois. Une manif
2
qu’ils l’ont posée sur un plan où nul arrêt de la
justice
humaine désormais ne saurait l’esquiver. Personne n’a réfuté ces témo
3
réformistes ! Mais il faut rendre à Martin cette
justice
que sa muette intransigeance a bien plus de portée. Prenons garde que
4
— qui poursuivrait son plan sans se soucier de la
justice
de Dieu. Et la voix du prophète s’élève contre l’Église : « Tes amis
5
e de Quervain sur la « théologie politique » fait
justice
de ce reproche et démontre une fois de plus que le paradoxe de la « p
6
u raffiné à combattre des injustices au nom de la
justice
qu’ils ont cru concevoir ! M. Renan sourit avec mélancolie. Le clerc
7
t juste, il le relâcherait. Mais qu’est-ce que la
justice
? Qu’est-ce que la vérité ? Valent-elles qu’on leur sacrifie sa situa
8
vant le monde : s’ils croyaient sérieusement à la
justice
, ils feraient tout pour l’imposer. Ils se compromettraient pour elle.
9
i même l’an dernier ; de cette patience, de cette
justice
dans la description du médiocre, de cette mesure constamment observée
10
ssi grands que le tout. 21. L’injustice, c’est la
justice
d’un groupe imposée uniformément à d’autres groupes. 22. C’est pourqu
11
i le fédéralisme est la seule forme humaine de la
justice
. 23. Le but du personnalisme n’est pas de s’emparer des « centrales