1 sprit candidard : les dessins, et plus encore les légendes de M. Hermann-Paul sont d’une imbécillité proprement répugnante et qu

2 es et, pour sauver l’enfant, perdit le dieu. » La légende est belle. C’est une légende… Elle traduit à mes yeux ce fait d’expér

3 perdit le dieu. » La légende est belle. C’est une légende … Elle traduit à mes yeux ce fait d’expérience : toute tentative de dé

4 dent . Partant d’une analyse approfondie des cinq légendes primitives de Tristan et Iseut, l’auteur a été conduit à rechercher l

5 u dans sa femme une Iseut ? Lorsque l’amant de la légende manichéenne a traversé les grandes épreuves d’initiation, souvenez-vo

6 it être un vrai amour pour l’autre. L’analyse des légendes courtoises nous a révélé que Tristan n’aime pas Iseut mais l’amour mê

7 ersonne humaine totale, — non comme une fée de la légende mi-déesse mi-bacchante, rêve et sexe. Mais remontons de ces prémisses

8 passion. Le « coup de foudre » est sans doute une légende accréditée par Don Juan, comme la « fatalité » de la passion est accr

9 he, émouvante réalité humaine », Et vous citez la légende de Rudel, et vous me reprochez de n’avoir pas rêvé là-dessus et de n’