1
ers sont très mal cultivés. Ils influencent leurs
lecteurs
au hasard, aux hasards des passions du jour, sans soupçonner les cons
2
ion de romans populaires : « Tenter d’arracher le
lecteur
aux petits soucis quotidiens, aux préoccupations constantes qu’entraî
3
Mais croyez-vous vraiment que mon bagnolard, mon
lecteur
enthousiaste de Clochemerle, grand roman de la pissotière, croyez-vou
4
la grandeur, de cet ouvrage ? Je crois que maint
lecteur
y découvrira peu à peu quelque raison très personnelle de l’aimer.
5
dis pas que tout cela aille sans fatigue pour le
lecteur
; ni sans quelque fatras, ni sans préciosité dans l’analyse de soi…
6
e. Pourquoi résister au plaisir de proposer à mes
lecteurs
la méditation de ce texte à maints égards révélateur ? « L’Esprit
7
e, telle qu’il songe que ses pères l’ont eue. Nos
lecteurs
se souviennent des pages sur le journalisme, la condition du fonction
8
charmer, ou à se laisser charmer — ceci pour moi
lecteur
— par le tableau de sa déchéance. ae. Rougemont Denis de, « [Compt
9
serait le gogo intégral. Ce serait par exemple le
lecteur
qui n’aurait pas remarqué, entre autres, que cette brochure-manifeste
10
s 1937)ai Ce livre eût passionné Lénine, grand
lecteur
, comme on sait, de Clausewitz. Il passionnera d’ailleurs tous ceux qu
11
crit, d’écouter ce qu’un autre leur dit. Quand un
lecteur
vous écrit, il s’exprime le plus souvent dans un langage conventionne
12
ès difficiles au jugement du clerc en chambre. Le
lecteur
réel, l’auditeur réel, est toujours autrement intelligent qu’on ne l’
13
ins écrits. Cette conclusion est la suivante : le
lecteur
en son particulier — précisons : le lecteur sérieux, personnellement
14
: le lecteur en son particulier — précisons : le
lecteur
sérieux, personnellement intéressé à un problème — juge à peu près ré
15
rivés à parler dans le vide, à ne parler qu’à ces
lecteurs
qui achètent les livres pour remplir les rayons d’un studio-divan. No
16
sans nous. Nous le retrouverons intact. C’est le
lecteur
que nous avons trahi, c’est avec lui que nous devons retrouver un con
17
eut-être des réflexions fécondes dans l’esprit du
lecteur
philosophe. Déjà huit mois que nous sommes ici, et combien de fois ne
18
hie peut-être plus virile que l’auteur demande au
lecteur
pour tous les êtres auxquels il est mêlé. Et qu’il l’obtienne à cette
19
ns Esprit , c’est une question qui se pose à nos
lecteurs
, parce que, sous une forme plus générale, la question de la littératu
20
s manœuvres de régiment ou de brigade stupéfie le
lecteur
étranger. Mais plus encore le ton de ces comptes rendus, où les clich
21
mbat de la foi et du monde, devient alors pour le
lecteur
non averti une « poésie » équivoque et brûlante. Poésie toute profane
22
trop faciles à concevoir, on craint d’attaquer le
lecteur
dans ses croyances les plus intimes et les plus solidement ancrées. O
23
lqu’un qui y croit encore, et qui escompte que le
lecteur
y croit. Or moi je n’y crois pas du tout. Je ne crois pas aux « faits
24
pour situer vos critiques dans l’esprit de votre
lecteur
— et du mien. Car en fait, je ne prétends nullement que mon livre soi
25
prit d’avril, nous a paru propre à intéresser nos
lecteurs
. Voici d’abord une lettre de Rougemont. »
26
Les deux phrases semblent dire la même chose. Un
lecteur
non prévenu s’y tromperait, mais pas vous. Car ma phrase signifie, à
27
est qu’à vingt ans. Ceci dit, je voudrais que vos
lecteurs
sachent aussi que mon article ne traitait pas de l’Algérie, ni de « l