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du confort moyen et de la TSF dans un monde où le
libre
divertissement de chacun sera la condition du libre abrutissement de
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bre divertissement de chacun sera la condition du
libre
abrutissement de tous par la propagande électorale. Prendre le travai
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ne liberté, ou plus exactement, créer, c’est être
libre
. Un art nouveau, c’est une liberté nouvelle. Mais c’est aussi une obé
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étise la dissolution du corps social en individus
libres
au terme d’une évolution scientifique et organisée (thèse de Marx et
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le pain assuré, quand les poètes se virent enfin
libres
de chanter l’homme tout entier, non plus seulement l’homme technicien
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ns partisanes, vieillards aux commandes, presse «
libre
» aux ordres des grands trusts, anarchie dans l’enseignement, et dix
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ore une vie à bien des égards plus facile et plus
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que les nouvelles. Elles ont gardé un certain nombre de possibilités
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outenir les hommes, cette ruine a laissé le champ
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à des religions toutes nouvelles, communisme, national-socialisme. Ma
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libérales, est dans la création d’une communauté
libre
. Notre chance est dans l’invention, et non dans la défense, ou dans l
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e dans l’Allemagne de Hitler, l’esprit soit moins
libre
, plus courbé, craintif (terrorisé), plus vassalisé. » — Dictature du
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s : L’homme ne peut penser et créer que s’il est
libre
. — Nous avons toujours admis la légitimité de la propriété. — Dans le
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critique. Thibaudet, lui, s’ébat dans le secteur
libre
. Il en abuse merveilleusement. C’est le chef-d’œuvre de la critique i
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et de force, écrit G. Bataille, la seule société
libre
est la société bi ou polycéphale qui donne aux antagonismes fondament
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st fait de nos monades superstitieuses ? Accorder
libre
cours à nos superstitions, qui au point de vue psychologique sont not
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it des irréductibles, dans le sens du jeu le plus
libre
des superstitions que j’ai dites, et dont l’éducation se fait très le
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e liberté. Et illusion de plénitude. Je nommerais
libre
un homme qui se possède. Mais l’homme de la passion cherche au contra
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dans la réalité par une généralisation de l’union
libre
, de l’avortement, de l’abandon des enfants, bref de tout ce qu’on cro
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4. « L’idée antique du travail indigne de l’homme
libre
se retrouve dans la chevalerie », écrit Henri Pirenne, Histoire de l’
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ords. […] À l’homme considéré comme pur individu,
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mais non engagé, correspond un régime démocratique tendant vers l’ana
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omme soldat politique, totalement engagé mais non
libre
, correspond le régime totalitaire. Enfin, à l’homme considéré comme p
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in, à l’homme considéré comme personne, à la fois
libre
et engagé, et vivant dans la tension entre l’autonomie et la solidari