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an Giono (novembre 1934)h On ne devrait jamais
lire
les hebdomadaires. Ce sont des entreprises de démoralisation : 1° par
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ts. Je le dis comme je le sens — parce que je les
lis
, naturellement — et je vous laisse le soin de me classer, si vous y t
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on à cette Préface à une littérature, qu’on a pu
lire
ici le mois dernier. Ah ! nous sommes loin — (avec ces auteurs-là) —
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me rappelle une bien bonne histoire, vous devriez
lire
ça, Clochemerle que ça s’appelle, je ne sais plus le nom du type qui
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ai pas suivi le conseil de cet homme, et n’ai pas
lu
le livre. Je lui laisse donc la responsabilité du compte rendu qu’il
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osition spirituelle. Toutefois, l’exposé qu’on va
lire
n’est pas un résumé des idées défendues par les deux groupes cités (e
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us fort. Attendrons-nous la prochaine guerre pour
lire
dans ce Destin allemand l’un des secrets de notre destin à tous ? L’o
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comprend mieux la portée de ce propos après avoir
lu
Tzara. Mais on ne comprend plus du tout la légèreté avec laquelle les
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on qui donne lieu à la proposition qu’on vient de
lire
ne saurait être celle d’une société équilibrée. Où est l’esprit ? Que
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e vue. Il s’est transformé en domaine. Il faut le
lire
comme un visage. Qu’est-ce qu’un domaine, qu’est-ce qu’une propriété
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r, c’est-à-dire un pouvoir d’incarnation, vous le
lirez
toujours sur les traits de sa face. (Encore faut-il avoir des yeux po
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e de Ramuz —, c’est qu’une seule page de ce livre
lue
avec cette lenteur qu’elle impose, nous replace dans la vision grande
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qu’ait jamais consenti Ramuz (c’est Une Main) je
lis
ceci : « Certains hommes tiennent pour un gain tout ce qui leur appor
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ctivité accrue ; et que les ouvriers se mettent à
lire
leurs livres, et viennent acclamer leurs discours, au lieu de croire
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le plus beau du monde disaient-ils. Et l’on peut
lire
chaque jour dans la presse russe des déclarations de ce genre « Le ni
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n même temps qu’un peuple immense apprenait à les
lire
. Cette situation exceptionnelle et provisoire a créé une communauté d
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futur étudiant l’inventaire de Petit, comme nous
lisons
le Journal d’un bourgeois de Paris pour essayer de « voir » le xve s
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nise, en dépit du progrès historique.) ⁂ Pour qui
lirait
, sans bien connaître Gide, l’avant-propos de son petit livre et cette
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une génération littéraire. Nous sommes heureux de
lire
enfin un manuel où Rimbaud, Sénancour et Stendhal trouvent leur place
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arl Jaspers. Je signale ce grand livre à ceux qui
lisent
l’allemand, en attendant une traduction, aussi nécessaire d’ailleurs
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un leurs raisons très concrètes et singulières de
lire
ce qu’un autre a écrit, d’écouter ce qu’un autre leur dit. Quand un l
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poncif onirique 1925 ? Ce n’était pas la peine de
lire
Feuerbach, cité à la page suivante. Voilà qui est antimarxiste d’une
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e enfin devient présentable… On a l’impression, à
lire
M. Lamm, qu’il n’eût pas accordé une attention extrême à Swedenborg d
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rend un livre de ce genre extrêmement ennuyeux à
lire
, quel que soit l’intérêt du sujet, donc à son détriment, surtout lors
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côté du problème fondamental. « Il faut se faire
lire
et gagner la confiance ; on ne remonte pas le courant de toute l’époq
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ion, au-delà de ce que les psychologues peuvent y
lire
. ⁂ « Notre engagement n’était pas pris pour ce monde », écrivait Nova
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econde (où notre ami Miatlev protestait de ne pas
lire
le nom de Lawrence parmi les premiers de ceux qui se sont attaqués à
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pas prévu. Post-Scriptum. — J’avais commencé de
lire
le numéro d’Esprit par la fin, comme tout le monde. Cette réponse écr
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, comme tout le monde. Cette réponse écrite, j’ai
lu
votre « Tristesse de l’historien ». (Mounier et Niklaus, qui sortent
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de retrouver la joie de l’historien !) 109. Je
lisais
hier encore dans une étude de Lucien Febvre : « La méthode de l’histo
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tre ou une virgule dans une phrase, on ne peut le
lire
qu’avec tout le contexte. S’en tenir aux faits seuls, aux faits bruts
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orer. J’y vois la marque de sa force. Qui n’a pas
lu
les éreintements de l’esprit américain auxquels se livrent avec exubé