1 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
1 pur, une revanche, dût-on n’y parvenir jamais. On lit cette littérature pour « échapper aux soucis quotidiens »12, pour évi
2 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
2 n dieu, et pour cela le couche chaque soir sur un lit de braises. « Il supporte l’ardeur des charbons, et cette épreuve le
3 1937, Esprit, articles (1932–1962). Défense de la culture (janvier 1937)
3 l’air de le croire, ces messieurs. Pourtant : on lit de moins en moins, en France, où rien n’entrave la liberté d’éditer e
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). Jean Blanzat, Septembre (janvier 1937)
4 indifférent, habile et sensible à la fois. On le lit sans savoir pourquoi ; peut-être pour chercher, de page en page, ce q
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Vaillant-Couturier, Au service de l’Esprit (février 1937)
5 — curieusement appuyées par ce mot d’ordre qu’on lit p. 10 : « Ni Rome, ni Berlin, ni Moscou ! » — laissent peu de doutes
6 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
6 Je viens d’aller la voir. Elle a un bâton sur son lit , qu’elle ne veut pas le lâcher, c’est pour lui tenir compagnie… On a
7 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
7 ntaine et sacrée telles que la quasi-publicité du lit nuptial subsistèrent, dans certaines provinces, jusqu’en plein xviie