1 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
1 ur l’instant, négligeant les causes et les visées lointaines , observons le présent tel que nous le vivons. Demandons-nous comment
2 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
2 n harmonisées. (Dans un temps que j’accorde aussi lointain qu’on le voudra.) Ces deux faits définis, revenons à la superstition
3 prises et sans illusion. Ce n’est plus une pensée lointaine qui anime un rêve, dans une chambre nocturne. C’est un homme qui renc
4 e d’ombres et de lueurs doucement étagées. Et les lointains de plaine évoquent l’instant de la séparation des eaux et de la terre
3 1937, Esprit, articles (1932–1962). Brève introduction à quelques témoignages littéraires (septembre 1937)
5 maintienne. (La question se posera un jour aussi lointain peut-être que certains le désirent…) Pour l’instant, nous ne pouvons
4 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
6 l est curieux de noter que des coutumes d’origine lointaine et sacrée telles que la quasi-publicité du lit nuptial subsistèrent,
7 seul fait qu’on l’obtient. On ne peut l’aimer que lointaine — comme la princesse de Jaufré Rudel. D’où la nécessité des obstacles