1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
1 es « creuses » ou des efforts stériles. Est-ce un long loisir créateur ? Un long travail d’enfantement ? Cela ne va pas sans
2 rts stériles. Est-ce un long loisir créateur ? Un long travail d’enfantement ? Cela ne va pas sans douleur, non plus que san
2 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
3 ulier, dont la page 39 donne un bon exemple, trop long à citer, la phrase ayant 18 lignes (il y en a de beaucoup plus longue
4 hrase ayant 18 lignes (il y en a de beaucoup plus longues ). Un certain rythme monotone entraîne une matière vocabulaire dispara
3 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
5 e se guérir de son irréalisme. Une pratique assez longue , et d’ailleurs imposée, de cet état me permet d’affirmer sans ironie
4 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
6 es empires égyptiens et aztèques, et la Chine des longues dynasties : grands empires et grandes cultures qu’un grand dessein po
5 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
7 xercées de journaliste ou de fonctionnaire) ; une longue médiation sur les maîtres d’une génération et le passé de la race qu’
6 1936, Esprit, articles (1932–1962). Note sur nos notes (novembre 1936)
8 bles répandus sur toute la durée fastidieuse d’un long règne. La longue imbécilité d’un monarque caduc prépare à son success
9 ur toute la durée fastidieuse d’un long règne. La longue imbécilité d’un monarque caduc prépare à son successeur des maux pres
7 1937, Esprit, articles (1932–1962). Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours (mars 1937)
10 ntaux, libertins, patriotiques, anticléricaux, le long desquels montent, l’un pinçant l’autre, le calicot et la grisette, ve
8 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
11 , c’est une manière de s’exprimer qui en dit plus long qu’on ne croirait. « J’ai mes brouillards et mon beau temps au-dedans
12 daient, parcouraient la prairie et les cultures à longues foulées, le nez au sol. Soudain, l’un relevait la tête, et s’en allai
13 ts rocheux. Soudain la girouette fait entendre un long cri presque humain. La maison la plus proche est à une bonne demi-heu