1 eurs qui se gaussent des deux premières, ceux qui méprisent la vie bourgeoise, l’amour et le mariage bourgeois, l’idéalisme roman

2 ngué, c’est aussi laisser ce corps à lui-même, le mépriser , l’abandonner à sa lourdeur. Décréter que l’esprit n’a pas de mains,

3 ique qu’elle conduit fatalement nos professeurs à mépriser les seuls philosophes de ce temps — Nietzsche en est le fameux exempl

4 ces choses « mal compassées » que Descartes déjà méprisait … VI. Le geste de Pilate Lorsque Renan se résigne sans peine à c

5 ussi qu’ils ne peuvent rien faire, et bientôt les méprise cordialement, tout en les honorant par habitude, et pour la même rais

6 ces. » D’où résulte que les anciens, les heureux, méprisaient l’action politique, — cultivaient la vérité désintéressée, — respecta

7 s nos arts de vivre, quand c’est la terre qui est méprisée , et la vie qui est la faute à racheter ! Mais tuer l’homme avant qu’i

8 nt un but essentiellement spirituel. Se détruire, mépriser son bonheur, c’est alors une manière de se sauver et d’accéder à une

9 r  : « Quand j’étais jeune, j’aurais parfaitement méprisé votre manière si cavalière d’expédier les problèmes, mais à présent j

10 diquement l’Amérique à votre secours, quitte à la mépriser sitôt le travail fait. Sachez que les Américains ont beaucoup mieux à

11 xemple, de l’esprit villageois. Apprenons d’eux à mépriser le politicien mais à respecter l’homme d’État ; à perdre aux élection