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e qui se crée son objet, par masochisme. Un jeune
mari
trouble sa femme, et la perd enfin, à force de souffrir d’une infidél
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mes de la nation la plus raisonnable du monde. Le
mari
est un vieux laïcard, il accuse les curés d’obscurantisme, il ne veut
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n et du Progrès, qui naît de la Science. C’est ce
mari
-là qui aura payé le billet, histoire de voir s’il a la chance. Seulem
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une tête à la Garbo, mais alors il s’agit que le
mari
ressemble à Gable ou à Taylor !) Ainsi la « liberté » de la passion r
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bourgeois et sa femme, voici le rêve sournois du
mari
qui ne peut plus désirer sa femme qu’en l’imaginant sa maîtresse. (Ba
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ante littérature romanesque nous peint ce type du
mari
qui redoute la « platitude », le train-train des liens légitimes où l
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aisons qui toujours tournent à leur détriment. Le
mari
souffre des beautés qu’il aperçoit à d’autres femmes, et dont la sien
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chacun ait sa femme, et que chaque femme ait son
mari
… La femme n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est le mari ;
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pas autorité sur son propre corps, mais c’est le
mari
; et pareillement, le mari n’a pas autorité sur son propre corps, mai
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e corps, mais c’est le mari ; et pareillement, le
mari
n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est la femme. Ne vous p
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ous les côtés. Voyez les excuses invoquées par le
mari
qui trompe sa femme ; il dit tantôt : « Cela n’a pas d’importance, ce
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n au ralenti.) Où est alors la différence ? Et le
mari
fidèle, ne serait-ce pas simplement celui qui a reconnu dans sa femme
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pas autorité sur son propre corps, mais c’est le
mari
; et pareillement le mari n’a pas autorité sur son propre corps, mais
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re corps, mais c’est le mari ; et pareillement le
mari
n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est la femme. (I. Cor.