1 1937, Esprit, articles (1932–1962). Jean Blanzat, Septembre (janvier 1937)
1 e qui se crée son objet, par masochisme. Un jeune mari trouble sa femme, et la perd enfin, à force de souffrir d’une infidél
2 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
2 mes de la nation la plus raisonnable du monde. Le mari est un vieux laïcard, il accuse les curés d’obscurantisme, il ne veut
3 n et du Progrès, qui naît de la Science. C’est ce mari -là qui aura payé le billet, histoire de voir s’il a la chance. Seulem
3 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
4 une tête à la Garbo, mais alors il s’agit que le mari ressemble à Gable ou à Taylor !) Ainsi la « liberté » de la passion r
5 bourgeois et sa femme, voici le rêve sournois du mari qui ne peut plus désirer sa femme qu’en l’imaginant sa maîtresse. (Ba
6 ante littérature romanesque nous peint ce type du mari qui redoute la « platitude », le train-train des liens légitimes où l
7 aisons qui toujours tournent à leur détriment. Le mari souffre des beautés qu’il aperçoit à d’autres femmes, et dont la sien
4 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
8 chacun ait sa femme, et que chaque femme ait son mari … La femme n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est le mari ;
9 pas autorité sur son propre corps, mais c’est le mari  ; et pareillement, le mari n’a pas autorité sur son propre corps, mai
10 e corps, mais c’est le mari ; et pareillement, le mari n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est la femme. Ne vous p
11 ous les côtés. Voyez les excuses invoquées par le mari qui trompe sa femme ; il dit tantôt : « Cela n’a pas d’importance, ce
12 n au ralenti.) Où est alors la différence ? Et le mari fidèle, ne serait-ce pas simplement celui qui a reconnu dans sa femme
13 pas autorité sur son propre corps, mais c’est le mari  ; et pareillement le mari n’a pas autorité sur son propre corps, mais
14 re corps, mais c’est le mari ; et pareillement le mari n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est la femme. (I. Cor.