1 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
1 tère de l’éternité, de cela qui échappe au temps, marque sa fin, et le recrée. De ce mystère, je puis seul témoigner dans l’in
2 u dernier siècle : il est l’élément insécable qui marque la limite de décomposition d’un corps quelconque. Autrement dit, l’in
2 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
3 e fait témoin, d’ordre spirituel ; à ce titre, il marque une époque, bien plus qu’une littérature. Ces quelques hommes — je pa
3 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
4 oire d’un mépris de la culture et de l’esprit qui marque à son insu l’élite bourgeoise, et confirme sa décadence. Ils me dirai
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). Retour de Nietzsche (mai 1937)
5 i 1937)aj Après la vague kierkegaardienne, qui marque un léger retrait dans les revues et la librairie — en attendant la pu
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)
6 e étonnant : pas une de leurs publications que ne marque une invention heureuse et une audace très raisonnable. Ils restaurent
6 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
7 rieuse d’apprendre et de s’améliorer. J’y vois la marque de sa force. Qui n’a pas lu les éreintements de l’esprit américain au