1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
1 Académie d’éducation et d’entraide sociale a pour mission de servir et de faire rayonner. » — L’idée de propriété, l’idée chrét
2 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
2 ans ses goûts, parce qu’elle est incertaine de sa mission . Cette anarchie ne se développera pas impunément : elle va se résoudr
3 n atomique. Les civilisations conscientes de leur mission n’ont jamais craint d’affirmer leur morale. Elles n’ont jamais pensé
4 resse comme un ordre ; pour l’incroyant, c’est la mission dont il se sent responsable envers lui-même. g. Rougemont Denis de,
3 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
5 rieur, par ses laboratoires, ses subventions, ses missions , ses grands instituts, organise la découverte, on verra dans ce palai
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
6 té, de réalité irremplaçable, de conscience d’une mission à accomplir, et que nul autre n’a reçue. La Suisse existe-t-elle ? no
7 nde leçon qui doit se dégager de notre effort. La mission essentielle de la Suisse est une mission personnaliste au premier che
8 fort. La mission essentielle de la Suisse est une mission personnaliste au premier chef : sauvegarder une Weltanschauung où les
9 figurent les déviations morbides. Et dès lors, la mission de la Suisse peut être définie à l’échelle de l’Europe : la Suisse do
10 ps que du personnalisme. Et c’est au nom de cette mission de gardienne du principe commun que la Suisse peut et doit maintenant
11 germanique, la latine et la française. ⁂ De cette mission qui justifie en même temps notre statut européen de neutralité, et no
12 vec notre neutralité, et ce qui est pire, avec la mission même qui justifie cette neutralité. Elle se permet de prendre parti,
13 les fascismes se donnent pour but d’exalter leur mission nationale. Quelles que soient les réserves de fond qu’il y ait à fair
14 faire, et je les fais, sur l’authenticité de ces missions qu’ils proclament à son de trompe, il est clair que leur force est là
15 er une « culture suisse », ce serait trahir notre mission , ce serait le péché même d’idolâtrie qui consiste dans son principe à
16 rales sur lesquelles nous pouvions compter, et la mission même de la Suisse. Tout cela tend à nous réduire à nos proportions ma
17 qui le dépasse. Petit peuple chargé d’une grande mission  : s’il l’oublie, il étouffe bientôt dans le confort et l’asepsie mora
18 e morale. Mais qu’il reprenne conscience de cette mission , et le grand air de l’Europe et du monde reviendra vivifier nos pays.