1 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
1 ertains cas où cette absurdité essentielle, cette mortelle , cette officielle dissociation de la pensée et de l’action apparaît p
2 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
2 me est l’Esprit incarné, l’Esprit qui s’est rendu mortel , car c’est ainsi qu’il peut changer le monde. Non pas en planant hors
3 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
3 contraintes matrimoniales et du mythe de l’amour mortel . Déjà l’on voyait affleurer le fond de désespoir et d’anarchie intime
4 , qui lui font aujourd’hui défaut. Sa dialectique mortelle pourra de nouveau mimer des intrigues épiques ou politiques. Et l’ave
4 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
5 te qui prétendait détourner l’homme de cette voie mortelle , divinisante, en lui « prouvant » qu’elle débouche dans sa perte ! En
6 e l’Éros à son tour se voit relevé de sa fonction mortelle et délivré de son destin. Dès qu’il cesse d’être un dieu, il cesse d’
7 e évacue la passion ; et la technique en devenant mortelle , trahit les ambitions dont elle est née. Il se peut que l’Occident su
8 ertaines de l’hérésie, que nous sont venues nos «  mortelles  » croyances. Mais dira-t-on, ces mêmes croyances n’ont pas produit le
9 ais au-delà de la passion vécue jusqu’à l’impasse mortelle , que pouvons-nous désormais entrevoir ? Les deux thèmes que je vais e
10 naturelle, Dieu apparaît alors comme « mon ennemi mortel  ». Nous nous heurtons ici à l’extrême limite, à l’origine pure de la
11 l’on peut alors concevoir que la passion, née du mortel désir d’union mystique, ne saurait être dépassée et accomplie que par
5 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
12 ifs sont incompatibles. Cela conduit à des crises mortelles . Alors les chefs de partis baissent le nez, font appel à l’union sacr