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tel est l’Acte — le seul ! — et tel est aussi le
mystère
; car cette seule Rupture effective surpasse absolument nos forces, e
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ser le concret, et de manifester à l’évidence son
mystère
. Or l’événement ne naît jamais, comme feignent certains philosophes,
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e. C’est une nouvelle qualité du concret. Mais ce
mystère
de la présence, si l’on peut en décrire les effets, demeure mystère e
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ence, si l’on peut en décrire les effets, demeure
mystère
en tant que pure initiation : c’est le mystère de l’éternité, de cela
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re mystère en tant que pure initiation : c’est le
mystère
de l’éternité, de cela qui échappe au temps, marque sa fin, et le rec
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appe au temps, marque sa fin, et le recrée. De ce
mystère
, je puis seul témoigner dans l’instant où il me saisit, et seulement
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l’instant qu’il cesse de l’être. Ainsi la voie du
mystère
est visible : l’éternel ne touche le temps que par l’individu en acte
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résultats du raisonnement à notre action. Sur le
mystère
de cette opération magique, peu de lumières dans la psychologie moder
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entièrement par des choses (s’agît-il du profond
mystère
de la liberté des humains en présence de « l’absurdité » du Tout-Puis
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mple n’est jamais pour Ramuz un moyen de créer du
mystère
en brouillant les plans du réel, mais un moyen de rendre plus totale
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e ceux-ci ne paraissent plus révélateurs que d’un
mystère
vague et flatteur. Comment expliquer autrement qu’à partir du xiie s
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usqu’en plein xviie siècle : on avait oublié les
mystères
originels, mais les rites gardaient pour effet de socialiser l’acte d
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oix d’un type de femme échappe de plus en plus au
mystère
personnel, et se trouve déterminé par Hollywood — et bientôt par l’Ét
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au sens moderne et revendicateur. Elle procède du
mystère
de l’amour, elle n’est que le signe et la démonstration du triomphe d
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n fascinante, mais il pressent, à peine tenté, le
mystère
difficile et grave d’une existence autonome, étrangère, d’une vie tot
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ui ne change pas comme nous, révèle peu à peu son
mystère
: c’est qu’au-delà de la tragédie, il y a de nouveau le bonheur. Un b