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e de Montmartre. C’est une conception de Français
né
paillard, décoré, et qui ne sait pas la géographie. Il faut tout de m
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ent, de la corruption spirituelle des loisirs est
née
la présente corruption du travail. Notre siècle ne connaît plus ni le
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sse dignité du travail Les nécessités anonymes
naissent
et grandissent à la mesure exacte de nos démissions personnelles : ge
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utre que la subversion du désordre où nous sommes
nés
, d’où viendrait donc l’ordre vivant ? On ne crée pas la vie en insult
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er. Dans la littérature bourgeoise, celle qui est
née
avec le romantisme, il me semble qu’on peut distinguer trois espèces
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ester à l’évidence son mystère. Or l’événement ne
naît
jamais, comme feignent certains philosophes, du croisement de deux dé
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même conjointement. Et c’est ainsi que le concret
naît
d’une décision de l’homme provocateur de la présence. 3. La présen
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te de présence, c’est le temps de la création qui
naît
de l’acte, c’est le rythme imprimé à l’action générale par cette appa
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tue. Corps et âme sont un seul et même être ; ils
naissent
ensemble et meurent ensemble, ils sont une seule et même « chair ». C
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les passions profondes le mouvement hitlérien est
né
et a pris son élan. C’est une admirable réussite littéraire, c’est au
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avec le nombre des compléments : « Si les mots ne
naissent
que lorsque l’idée qui les désignent… » (p. 270) ou : « le processus…
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t dégagé de son corps, jamais un tel esprit n’est
né
dégagé de tous liens, irresponsable. Et s’il existe en apparence des
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oici l’homme » ! Et que dit cet homme ? « Je suis
né
et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité. » U
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par le divorce de ses idées et de ses actes. D’où
naît
une certaine littérature d’intrigues pour laquelle il est clair que R
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autrement dit de la culture prolétarienne, censée
naître
automatiquement, et comme un produit accessoire de la dictature écono
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nscience du danger. La littérature soviétique est
née
de la révolution. Elle s’est constituée en même temps que son public.
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ste originelle qui veut que la culture socialiste
naisse
comme une production automatique du triomphe de la classe ouvrière. L
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fins purement matérielles, dont on espérait qu’il
naîtrait
spontanément une culture populaire. C’était viser trop court, et sous
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age, nous ne pourrons jamais en être, nous sommes
nés
sous d’autres astres, et notre vocation est différente. Nous ne somme
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ont la portée directe et l’évidence insupportable
naissent
non point d’une vue théorique sur quelque régime idéal, mais de la se
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nécessaire. Toutes les grandes littératures sont
nées
d’une révolution, non d’une émeute dans les lettres. Pour qu’une écol
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an d’un débutant : « Les personnages n’y semblent
naître
et se nourrir que de la fièvre de l’auteur. » N’est-ce pas, en somme,
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pas, en somme, toujours ainsi que les personnages
naissent
et se nourrissent ? Mais on a convenu de n’en rien laisser paraître.
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ser que c’est plutôt la tactique… Si le Français,
né
malin, ne doit pas mourir gogo, la brochure de Vaillant-Couturier fer
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e, c’est le parti de la Raison et du Progrès, qui
naît
de la Science. C’est ce mari-là qui aura payé le billet, histoire de
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fatal de nos superstitions les plus valables que
naissent
par exemple la menace fasciste et l’enthousiasme communiste. La plupa
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pitalisme anonyme et des révolutions qu’il a fait
naître
. Or c’est une crise fort analogue qui menace la neutralité, dès l’ins
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stan est un roman « courtois ». La courtoisie est
née
dans le Midi au xiie siècle, sous l’influence de l’hérésie cathare o
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rir à la personne l’éthique de l’évasion, qui est
née
du mythe.) D’où les multiples tentatives de « restauration » du maria
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ntre l’avortement et contre l’abandon des enfants
nés
hors du mariage. La rigueur subite de ces lois, le choc psychologique
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ion aura vécu. Un Occident nouveau, imprévisible,
naîtra
dans les laboratoires. (à suivre) Dans un second essai, qui paraîtr
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u décrire la passion comme une entité historique,
née
dans un temps et dans des lieux déterminés, et sous des astres dont l
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par une révolte contre la décision dont elle est
née
. Et pour tout dire, j’ignore encore si cela peut avoir un sens : appr
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lors, on peut être certain qu’un pareil mythe est
né
de la rêverie des impuissants. Et en effet, la conduite de Don Juan e
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’abord : ce n’est pas le christianisme qui a fait
naître
la passion, mais c’est une hérésie d’origine orientale. Cette hérésie
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la religion manichéenne. Plus exactement, il est
né
de la complicité de cette religion avec nos plus vieilles croyances,
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ble. La passion ni la foi hérétique dont elle est
née
ne sauraient proposer comme but à notre vie la maîtrise de la Nature,
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nant mortelle, trahit les ambitions dont elle est
née
. Il se peut que l’Occident succombe à ce destin qu’il s’est forgé. Ma
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la foi, l’on peut alors concevoir que la passion,
née
du mortel désir d’union mystique, ne saurait être dépassée et accompl
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d’observation qui réfute les croyances courantes,
nées
du mythe de Tristan et de son négatif donjuanesque. Mais cette « rais