1 1935, Esprit, articles (1932–1962). Roger Breuil, Les Uns les Autres (avril 1935)
1 es et de ces corps tout frémissants de nostalgies naïves et de jeunes ruses. On sent que Breuil est mêlé de très près à l’exis
2 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
2 uire « en dur ». N’exagérons pas la portée de ces naïves fantaisies de commissions. Mais comment ne pas voir qu’elles trahisse
3  » qui avait fabriqué ces « lois », dans l’espoir naïf qu’elles joueraient automatiquement en sa faveur. Et le peuple qui cr
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
4 nc de sa mesure) au Plan est même si radicale, si naïve , que les Soviets en sont venus à confondre sans l’ombre d’un doute « 
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours (mars 1937)
5 isait Nietzsche. Nous disons « existence » (dure, naïve et banale) quand il parle d’élan vital. (Heidegger succède à Bergson.
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
6 u mieux, l’un contre l’autre. La religion la plus naïve , le fanatisme religieux le plus obtus s’opposent infiniment moins à n
7 ce qu’il y a d’humain dans certaines imprudences naïves — ce qu’il y a d’inutile dans la plupart de nos précautions oratoires
6 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
8 transporté » ! La sempiternelle illusion, la plus naïve et — j’ai beau dire ! — la plus « naturelle » pensera-t-on… Illusion