1 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
1 raison d’être14. Nous sommes ici très loin de la notion bourgeoise de liberté, qui est absence d’obligations, de repères, de
2 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
2 fixer davantage les idées, de l’opposer ici à la notion de l’individu. L’individu est le terme dernier de la division objecti
3 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
3 en de ceux que l’on enseigne, et qui composent la notion courante de l’esprit pur : ce sont ces lieux communs inoffensifs et s
4 ne pas admirer la merveilleuse convergence d’une notion trop désintéressée de l’esprit, qu’ont les clercs, et d’une notion mo
5 téressée de l’esprit, qu’ont les clercs, et d’une notion moins désintéressée de l’action, qu’ont les capitaines d’industrie ?
4 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
6 vité pratique. (Nous avons dit souvent sur quelle notion bourgeoise et libérale de l’esprit se fonde une pareille indulgence.)
5 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
7 heur » (nous reviendrons tout à l’heure sur cette notion centrale). Cette dépréciation générale des obstacles institutionnels