1
humaines qui s’entrebattent dans la confusion et
nourrissent
des haines bavardes. Je veux parler ici de deux d’entre elles seuleme
2
atteur et c’est distingué, mais il faut encore le
nourrir
. Une logique vulgaire voudrait que l’État, qui l’honore, se charge au
3
manière exemplaire l’accord des éléments dont se
nourrit
l’art de Ramuz. Voici Caille, le colporteur biblique, qui s’avance dè
4
es conventions dans un pays, elles ne peuvent pas
nourrir
une réaction créatrice. Et ce n’est point en haine de la facilité qu’
5
sure constamment observée — voilà sa ruse— et qui
nourrit
enfin, comme sans le vouloir, le plus féroce réquisitoire contre notr
6
ant : « Les personnages n’y semblent naître et se
nourrir
que de la fièvre de l’auteur. » N’est-ce pas, en somme, toujours ains
7
toujours ainsi que les personnages naissent et se
nourrissent
? Mais on a convenu de n’en rien laisser paraître. Oui, c’est toujour