1
u’au bout et à tout prix ? Au niveau de jugement
où
nous place M. Hermann, tout Allemand a le crâne rasé, s’appelle Fritz
2
ectives de la vie publique et privée, dans l’état
où
se trouve la France en 1932. Est-ce à dire qu’il faille entreprendre
3
lerait l’équation de décadence, dans certains cas
où
cette absurdité essentielle, cette mortelle, cette officielle dissoci
4
qui fait qu’on invoque son nom dans tous les cas
où
il s’agit en vérité de conscience de classe, de conscience bourgeoise
5
de confiance ; et qu’ils l’ont posée sur un plan
où
nul arrêt de la justice humaine désormais ne saurait l’esquiver. Pers
6
ngtemps demeurer pacifiste. Dans un régime social
où
tout se tient, mais par la seule logique de la décomposition nécessai
7
t nous savons qu’il y faudra de la violence. Mais
où
porter le coup ? qui dénoncer ? au nom de quoi ? La rupture ne pourra
8
i ? La rupture ne pourra s’opérer qu’au lieu même
où
la collusion s’est faite. Or elle n’a pas pu se faire entre le christ
9
ssaire : la dénonciation d’une imposture, partout
où
la chrétienté, ayant touché ses 30 deniers, voudra parler encore au n
10
me ordre. Assez de cette « politique chrétienne »
où
l’on embarque une prétendue foi dans les plus discutables déterminati
11
e ; mais l’ordre chrétien, dont certains parlent,
où
est-il aujourd’hui ? Faudrait-il attendre qu’on l’ait trouvé ? 3.
12
e doit d’être révolutionnaire dans la mesure même
où
il reste fidèle à lui-même, c’est-à-dire dans la mesure où, constamme
13
te fidèle à lui-même, c’est-à-dire dans la mesure
où
, constamment, il reproduit la démarche de ses fondateurs : le retour
14
du mouvement révolutionnaire, dans tous les pays
où
le protestantisme domine, des protestants qui loin de renier leur foi
15
ation du confort moyen et de la TSF dans un monde
où
le libre divertissement de chacun sera la condition du libre abrutiss
16
nt leur commun sens : dans l’actualité de l’être,
où
ils ne seront plus que les temps alternés d’une plénitude joyeusement
17
réface à l’avenir n’était qu’anathème au présent,
où
serait notre création ? Et si l’ordre que nous voulons n’était rien d
18
’était rien d’autre que la subversion du désordre
où
nous sommes nés, d’où viendrait donc l’ordre vivant ? On ne crée pas
19
e la subversion du désordre où nous sommes nés, d’
où
viendrait donc l’ordre vivant ? On ne crée pas la vie en insultant la
20
. Ce pouvoir, nous le connaissons, dans la mesure
où
nous sommes humains. Mais cette mesure est peut-être assez faible. Et
21
ains. Ils criaient, mais restaient dans la salle,
où
l’on pouvait les applaudir. On les trouvait plus amusants que les act
22
’État fasciste13. Que pourrait-elle lui opposer ?
Où
donc est la mesure de l’homme irréductible, au nom de quoi elle dirai
23
e, que pourraient-ils voir d’autre, dans le monde
où
nous sommes, qu’un désordre impensable, appel aux dictateurs ? Mais c
24
vivante. L’écrivain sera créateur dans la mesure
où
il obéira à sa seule vocation personnelle : mais dans cette mesure-là
25
assis à côté de moi. Ils m’ont dit : — Fais voir
où
tu as mal, petite fille. — Puis ils m’ont dit : — Je m’appelle Whitma
26
r la place de mon village. « Je vous dépose ici ?
Où
voulez-vous ? Tenez, on va s’arrêter devant la pissotière, ha ! ha !
27
n homme n’est réellement sujet que dans l’instant
où
elle rencontre une occasion de s’exercer, et la saisit. Par ces deux
28
t agissant chacun à leur manière ; car autrement,
où
serait l’événement ? La manière d’être de l’objet lorsqu’il est mis
29
, de provoquer le corps-à-corps avec l’objet. Par
où
l’on voit que le sujet détient une primauté de fait. Il peut s’éprouv
30
ut purement descriptive est exacte dans la mesure
où
elle décrit notre dégradation. L’erreur est simplement de nommer homm
31
ns connaître cette humanité, sinon dans la mesure
où
nous sommes agissants. L’acte seul témoigne de l’acte, et joue en nou
32
sculpte un visage lisible. Sur la scène du monde,
où
nous avons été placés, dans ce drame qu’il nous faut jouer sans le co
33
le monde, et qu’il n’est pas de réduit si secret
où
l’on se cache, qui ne soit justement l’un des lieux où l’action génér
34
on se cache, qui ne soit justement l’un des lieux
où
l’action générale avait dessein de nous placer. Ainsi donc, encore qu
35
er tout comme s’il connaissait le fil du drame. D’
où
lui vient tout à coup l’assurance que ce qu’il fait est dans son rôle
36
ce mystère, je puis seul témoigner dans l’instant
où
il me saisit, et seulement en lui obéissant ; car le connaître, c’est
37
rce que l’éternel vient à nous, dans notre temps,
où
nous sommes, tout entier. L’éternité pour nous n’existe pas en dehors
38
n reçue et obéie. Je suis personne dans la mesure
où
mon action relève de ma vocation, fût-ce au prix de la vie de mon ind
39
es attaque, une fatale loi justifiée en raison. D’
où
vient alors l’idée de la personne, et ce regret d’une dignité que la
40
s garde de retomber ici dans un ordre contractuel
où
la personne abritée par la loi perde à la fois son risque et son pouv
41
a une santé dans le matérialisme, et une humilité
où
la personne retrouve l’un des pôles de sa tension. Peut-être est-il p
42
lan d’ombre et d’abstractions, parfois violentes,
où
se poursuit ce vieux débat, aucun espoir de solution réelle n’est plu
43
s de chair, que l’esprit ? Cet esprit qui souffle
où
il veut, et nous mourons où nous pouvons, cet esprit qui dansait sur
44
et esprit qui souffle où il veut, et nous mourons
où
nous pouvons, cet esprit qui dansait sur les eaux primitives, et les
45
te surprise pure de mon corps qui se voit conduit
où
rien en lui n’était nécessité d’aller. J’appelle esprit la plénitude
46
aller. J’appelle esprit la plénitude de l’instant
où
dans l’oubli de tout ce que je peux, j’ai franchi l’impossible seuil.
47
Maurice Meunier, Idoles (février 1935)m
Où
l’on apprend comment un nommé Jean aima, de loin et à 15 ans, des pet
48
avons perdu la guerre, Bell, et dans la situation
où
nous sommes, nous ne pouvons plus nous affirmer que par le sacrifice.
49
à la mitrailleuse presque à bout portant, etc.),
où
l’homme avoue ses dernières ressources de sacrifice. Mais il faut se
50
attribuer les quinze dernières pages de ce livre,
où
l’on retrouve parfois le ton des grandes utopies du premier romantism
51
te de sa responsabilité au profit de l’objet, — d’
où
l’erreur d’accord, d’où aussi l’adoption du matérialisme historique q
52
au profit de l’objet, — d’où l’erreur d’accord, d’
où
aussi l’adoption du matérialisme historique qui décharge le sujet de
53
sera absente nulle part. Mais il faut un endroit
où
les travailleurs désintéressés de l’esprit, ceux dont les recherches
54
ivre à l’Exposition. Pourvu, à côté des pavillons
où
se présenteront les grandes découvertes, de salles destinées aux cher
55
e ne saurait être celle d’une société équilibrée.
Où
est l’esprit ? Quel est son champ d’action ? Doit-il avoir un lieu pa
56
sont le fait d’une époque barbare ; d’une époque
où
l’esprit n’est plus un lieu commun, comme la richesse par exemple, do
57
la Richesse ? ou du Succès ? — bref, d’une époque
où
ce qu’on nomme l’esprit ne s’impose plus sans discussion. Lorsque l’É
58
t ? Le séparer de ces réalités trop terre-à-terre
où
le commun risquerait fort de ne le point distinguer nettement ? À cou
59
palais, ce « sanctuaire », cette « ruche active »
où
bourdonneraient les idées pures, ce ne serait jamais qu’un musée. Et
60
allègue un « progrès » continu des « problèmes »
où
le tragique se résorbe en erreurs. Cette obsession de la science, c’e
61
trahison. Se montrer désintéressé, au sens subtil
où
il l’entend, c’est nier en principe que l’esprit soit responsable de
62
s refus de conclure37, c’est-à-dire de s’engager,
où
ils voient le sublime de l’esprit ? Ne vient-il pas de dire : « Qu’es
63
niversel complot des « hommes de main ». VIII.
Où
peut agir l’esprit ? Commettra-t-on ce Palais de l’Esprit ? S’ils
64
aratoires. L’important, c’est de voir hic et nunc
où
peut s’insérer notre action, et comment elle doit s’orienter. Je ne n
65
re de conduire l’action, si conduire c’est savoir
où
l’on va. Seuls les prophètes — et non pas les poètes — peuvent en vér
66
s de la ville, depuis le matin, et dans 45 salles
où
les formations d’assaut avaient leur « appel général », des dizaines
67
Oberfläche. (Ce qui est profond doit être caché.
Où
donc ? À la surface.) Hofmannsthal. 1. Ramuz mythologue Toute
68
nscrivent aussi bien que l’allure des pentes. « D’
où
cette démarche qu’ils ont, d’où encore la nécessité quelquefois de re
69
e des pentes. « D’où cette démarche qu’ils ont, d’
où
encore la nécessité quelquefois de refaire son pas, parce que la pent
70
— dont Ramuz nous a retraduit quelques passages —
où
toute une théologie s’exprime entièrement par des choses (s’agît-il d
71
âtié », comme on disait dans les salons, au temps
où
le seul tribunal était celui du goût (c’est-à-dire des poncifs imposé
72
ir par le divorce de ses idées et de ses actes. D’
où
naît une certaine littérature d’intrigues pour laquelle il est clair
73
incarnation, devait le conduire à créer un milieu
où
tout « être » se traduisît immédiatement par un « paraître » ; en sor
74
yant l’aspect d’une brochure à couverture bleue »
où
les événements actuels — cela se passe un jour d’été de 1918 — sont e
75
façon concrète ; ainsi le maniement d’un outil. D’
où
le reproche de puérilité que lui adressent ceux qui par exemple n’hés
76
ur personne ; elle ne commence à vrai dire que là
où
leur personne prend fin. Elle n’est pas dans le contact aussi direct
77
e commencement de sa personne ; elle prend fin là
où
commence, pour lui, l’impersonnel. Elle est dans le contact aussi dir
78
de conventions et de prudences… Ramuz commence là
où
tous les intermédiaires sont supprimés. Goethe cherche une économie d
79
ort réactionnaire de Ramuz, dans les contingences
où
nous sommes, soit, plus qu’il n’y paraît, conforme à l’éducation goet
80
r effort, parce que l’homme est le plus humain là
où
les choses et les êtres attendent tout de son pouvoir restaurateur :
81
erdu de nouveau, puis retrouvé pour un instant) :
où
on a en commun un Père et une Mère, où la grande parenté des hommes e
82
instant) : où on a en commun un Père et une Mère,
où
la grande parenté des hommes est entr’aperçue pour un instant. Car c’
83
ut de sentier. Et il y a aussi cette malédiction,
où
on sent bien qu’on est (car rien autour de nous n’est vraiment éclos,
84
confond avec celle de la personne. Dans un essai
où
je crois distinguer l’aveu de soi le plus direct qu’ait jamais consen
85
and exemple d’une volonté tendue vers l’origine d’
où
procèdent à la fois les lois d’un art, la coutume d’un peuple, et l’a
86
ns que Ramuz ne veut pas esquiver. Voici le temps
où
tout homme se voit mis en demeure de déclarer ses origines et ses fin
87
déclarer ses origines et ses fins. Voici le temps
où
l’homme est attaqué par des puissances qui veulent son abdication tot
88
Angoissés par la crise occidentale et l’isolement
où
ils se voient ; séduits par certains résultats matériels et même mora
89
é »… mais « quelque chose qu’il faut vouloir ». D’
où
l’exaltation emphatique de ce qu’ils appellent la « volonté des homme
90
j’ajouterai de critique méfiante, dans la mesure
où
les jeunes communistes viennent à nous avec cette morgue que l’on dis
91
de nous critiquer, vous en serez bientôt au point
où
nous étions quand la révolution a éclaté. Si au contraire vous essaye
92
s auriez pu faire d’autre. Vous en étiez au point
où
l’homme ayant démissionné, il fallait enregistrer cette démission. Il
93
pel des faits. Considérons les temps et les lieux
où
nous vivons, la situation précise qui nous est faite, et l’appel conc
94
ont elle redoute l’impuissance pratique à l’heure
où
il faudra donner du pain si l’on veut prendre ou garder le pouvoir. Q
95
nce, une secrète espérance dans le malheur total,
où
peut-être on touchera de nouveau le réel, où peut-être on retrouvera
96
tal, où peut-être on touchera de nouveau le réel,
où
peut-être on retrouvera des raisons sérieuses et urgentes, enfin soli
97
lli de la crise, vers une communauté nouvelle. Là
où
cette crise était la plus aiguë, la réponse, qui devait être totale,
98
vait être totale, n’a été que « totalitaire ». Là
où
depuis cent ans ou plus la nation existait déjà, la crise est bien mo
99
dent à la fois des mesures et du lieu et du temps
où
on les mesure. Seuls donc les groupes de forces ou d’hommes, exacteme
100
ne nouvelle mesure, d’une nouvelle image du monde
où
l’homme s’éprouve de nouveau réel, actif, nécessaire et relié. Tout j
101
que crée en nous la ruine de l’individualisme. Là
où
nulle conscience nationale ne pouvait plus soutenir les hommes, cette
102
uvelles, communisme, national-socialisme. Mais là
où
le cadre national existait depuis un ou deux siècles, ces religions n
103
totalitaire. Elle a pour formule réelle — même là
où
l’on refuse encore ce nom — la fédération, non la masse ; et non la t
104
udrait avoir été l’ami d’Ulysse. Le bref chapitre
où
il nous livre cet aveu éclaire une bonne part de son œuvre. Rien n’es
105
e, tout de même, sur la « politique de clocher »,
où
l’auteur s’efforce de sauver les restes d’un fédéralisme dont il faud
106
fait savoir, que c’est à nous de recréer un monde
où
notre vie s’accepte. Aux premières pages j’ai pensé : document sur le
107
n. Mais il s’agit de refaire une amitié humaine d’
où
jaillisse la joie créatrice. Il faut bien constater d’abord qu’elle n
108
, ou je ne sais quel sabir personnaliste. Au jour
où
nous en sommes, on ne refait pas un art avec un point de vue d’art, o
109
phie, ou de morale, mais en refaisant une société
où
l’art exerce une fonction nécessaire. Toutes les grandes littératures
110
des réponses que l’on donne au problème éternel :
où
sommes-nous, d’où venons-nous, où allons-nous ? Alors seulement, aprè
111
’on donne au problème éternel : où sommes-nous, d’
où
venons-nous, où allons-nous ? Alors seulement, après cela seulement,
112
blème éternel : où sommes-nous, d’où venons-nous,
où
allons-nous ? Alors seulement, après cela seulement, le reste aura le
113
. Pourtant : on lit de moins en moins, en France,
où
rien n’entrave la liberté d’éditer et de vendre tout ce que l’on imag
114
es vices les plus connus, revue à grand spectacle
où
Jaurès, Mussolini, Lénine, d’Annunzio et Nietzsche viennent faire de
115
éalité aussi conventionnel qu’on l’imagine. Monde
où
les clichés romanesques retrouvent enfin leur vérité originelle. Et l
116
’élan vital de la littérature (sans se demander d’
où
il venait, où il allait), ce bergsonien pittoresque et succulent, dev
117
la littérature (sans se demander d’où il venait,
où
il allait), ce bergsonien pittoresque et succulent, devisant à la ter
118
) Nous n’aimons plus cette autarchie des Lettres,
où
les problèmes réels, sociaux, métaphysiques, viennent tout juste four
119
aire. Nous sommes heureux de lire enfin un manuel
où
Rimbaud, Sénancour et Stendhal trouvent leur place. Mais que dire de
120
lui-même sujet de chanson, vers une plate-forme d’
où
s’étale à la vue tout un quartier d’histoire populaire, celui de Juil
121
oterie, dans les tombolas des sociétés, n’importe
où
, elle est sûre de gagner quelque chose à tous les coups. » Voilà ce q
122
ut entendre dans toutes les épiceries de province
où
se rencontrent les femmes de la nation la plus raisonnable du monde.
123
à la Science mère du Progrès, que dans la mesure
où
cela lui permet de ne pas aller à l’église. Pour le reste, il demeure
124
quelques coups de tête furtifs, et se détourne. D’
où
vient-il ? On m’a dit qu’il n’y a pas de pigeons par ici. Que vient-i
125
tous les autres… Et ce n’est guère qu’à l’instant
où
l’on découvre que tous les autres en croient autant, que ces autres c
126
s par le désir, s’apaisent tout d’un coup le jour
où
ils découvrent que leur état jugé par eux « exceptionnel » — et dont
127
Dans notre cas, l’État devient totalitaire. « Là
où
l’homme veut être total, l’État ne sera jamais totalitaire. » Or l’Ét
128
rmal de ses croyances spontanées et immédiates. D’
où
l’empire monstrueux qu’elles prennent sur les esprits, et la réalité
129
lexe de castration » qui se noue au moment précis
où
l’agressivité normale de la personne se retourne contre elle, au prof
130
fit des tyrannies impersonnelles. C’est l’instant
où
l’homme dit : « Que voulez-vous que j’y fasse ? » ou encore : « Ils s
131
e cherche, quand je vais parler dans ces cercles,
où
l’on se trouve soi-même à portée de l’auditeur, où l’on se voit natur
132
ù l’on se trouve soi-même à portée de l’auditeur,
où
l’on se voit naturellement contraint, ne fût-ce que par la proximité
133
ore translucides au-dessus du bassin bleu de ciel
où
nagent d’énormes bottes de radis rouges. Tout a son éclat neuf, sa de
134
des eaux et de la terre, dans un chaos brillant d’
où
montent des vapeurs d’aube d’été. « Un vrai temps de Pâques ! », me c
135
ations dans la vie, de rêves dans l’affreuse vie,
où
l’on condamne avec indifférence, et où tout le monde en fait est coup
136
reuse vie, où l’on condamne avec indifférence, et
où
tout le monde en fait est coupable de tout : du sort des filles publi
137
ticulièrement éprouvée par les circonstances. » D’
où
résulte que les anciens, les heureux, méprisaient l’action politique,
138
ce point comme sur tant d’autres, dans la mesure
où
le personnalisme entend refaire un ordre humain qui soit assez organi
139
patriote ne prend quelque chaleur qu’aux endroits
où
il s’agit de réfuter les hypothèses d’un collègue historien. Je ne ni
140
, identité, ou vocation distincte. Dans la mesure
où
cet effort est réel et aboutit — ce qui est encore une question — il
141
au service de quelque chose qui le dépasse, mais
où
il trouve enfin sa plus profonde raison d’être. Or il semble bien que
142
estions, et de jouer le scepticisme, dans un pays
où
tant de choses vont de soi. Il nous faut un homme comme Ramuz pour no
143
Ramuz pour nous tirer de l’optimisme assez épais
où
s’endorment les jeunes Suisses, trop assurés, comme le dit Cingria, d
144
de nos chances et de nos destins, dans une époque
où
des choses plus anciennes et plus grandes que notre statut se trouven
145
ys a, comme tel, l’obligation de rester neutre. D’
où
l’on déduit qu’il en possède aussi le droit, une espèce de droit natu
146
analogue qui menace la neutralité, dès l’instant
où
ceux qui en jouissent oublient pourquoi ils ont reçu ce droit. Je ne
147
accepter les charges qui s’y trouvaient liées. D’
où
le malaise provoqué par l’application des sanctions, premier avertiss
148
au premier chef : sauvegarder une Weltanschauung
où
les droits du particulier et les devoirs envers le général se féconde
149
utes les nations ; étant eux-mêmes dans la mesure
où
ils sont cela, dans la mesure où ils existent pour l’ensemble, — voil
150
s dans la mesure où ils sont cela, dans la mesure
où
ils existent pour l’ensemble, — voilà les Suisses, grands Portiers de
151
u’en utilisant ses défauts, en s’élevant au point
où
ils deviennent les conditions d’une création unique. Au niveau de l’i
152
u du moins à ce qu’on tient pour tel dans un pays
où
les valeurs intellectuelles passent plus qu’ailleurs pour un luxe. (N
153
le budget de la conscience fédérale. Car le jour
où
il existera, l’on pourra dire que nos hommes politiques, si réellemen
154
r. Mais plus encore le ton de ces comptes rendus,
où
les clichés lyriques d’allure nationale-socialiste se mêlent à des dé
155
ement ; l’autre exaltait un ensemble de valeurs d’
où
résultait — en principe tout au moins — la condamnation du mariage. L
156
plus en plus le choix réciproque des conjoints. D’
où
le nombre croissant de divorces. En même temps, les cérémonies épitha
157
x. 3. — Contraintes religieuses. Dans la mesure
où
la conscience moderne comme telle sait encore distinguer le christian
158
tutionnels entraîne une chute de tension morale d’
où
résulte une immense confusion. L’adultère devient un sujet de délicat
159
e nous introduit dans le monde de la comparaison,
où
nul bonheur ne saurait s’établir, tant que l’homme ne sera pas Dieu.
160
aime de passion accède à une humanité plus haute,
où
les barrières sociales, entre autres, s’évanouissent. Le Tzigane peut
161
frir. Lorsque Tristan emmène Iseut dans la forêt,
où
plus rien ne s’oppose à leur union, le génie de la passion dépose ent
162
l’héroïsme religieux à la confusion sans grandeur
où
se débattent les hommes du temps profane : au lieu de l’épée du cheva
163
« platitude », le train-train des liens légitimes
où
la femme perd son « attrait » parce qu’il n’est plus d’obstacles entr
164
ur Tristan l’infini, c’est l’éternité sans retour
où
s’évanouit la conscience douloureuse — pour le moderne, ce n’est plus
165
Mais la passion dite « fatale » — c’est l’alibi —
où
se complaisent les modernes, ne sait plus même être fidèle, puisqu’el
166
accuser, mais il est la victime d’un ordre social
où
les obstacles se sont dégradés. Ils cèdent trop vite, ils cèdent avan
167
sion ruine l’idée même du mariage dans une époque
où
l’on tente la gageure de fonder le mariage, précisément, sur les vale
168
l’éthique de l’évasion, qui est née du mythe.) D’
où
les multiples tentatives de « restauration » du mariage auxquelles no
169
s « névroses » qui seraient à l’origine du mal (d’
où
l’on déduit que la médecine mentale guérirait tout). Van de Velde ou
170
sait pas au juste ce qu’est l’amour-passion, ni d’
où
il vient, ni où il va. On sent bien qu’il y a là quelque chose d’inqu
171
e ce qu’est l’amour-passion, ni d’où il vient, ni
où
il va. On sent bien qu’il y a là quelque chose d’inquiétant, mais on
172
on précisément que l’on entendait « liquider ». D’
où
l’absolue nécessité de restaurer les bases sociales, c’est-à-dire l’é
173
lectivistes et eugéniques, et dans une atmosphère
où
les problèmes individuels tendaient à perdre toute espèce de dignité,
174
ue la pratique forcée de l’eugénisme réussira, là
où
toutes nos morales échouent, entraînant l’effective abolition du beso
175
hypothèse », dit l’auteur) ; soit sur le passage
où
Jésus proclame que l’homme ne doit pas séparer ce que Dieu a uni ; so
176
lointaine — comme la princesse de Jaufré Rudel. D’
où
la nécessité des obstacles au désir — on les invente s’il n’y en a pa
177
tre « une aventure d’intolérance et d’inquisition
où
nous avons à peu près tout à perdre ». Enfin M. Haedens demande que l
178
: « Il y avait de charmantes fêtes à Versailles,
où
le Faubourg Saint-Germain (comme on disait naguère) et Montparnasse s
179
ay 1. Nécessité d’un parti pris À l’heure
où
cet ouvrage touche à sa conclusion, il me semble que son dessein le p
180
la passion. Quant à stériliser le milieu culturel
où
la passion plonge ses racines, il est probable que l’État s’en charge
181
toutes les raisons de le prévoir, dans une époque
où
l’on confond thérapeutique et sotériologie (lois de l’hygiène et doct
182
ce trait qui enfin la situe, non dans l’abstrait
où
la passion ne peut exister — et alors en parler n’est qu’une farce —
183
e chacun, frères, demeure devant Dieu dans l’état
où
il était lorsqu’il a été appelé (vierge ou marié)… usant du monde com
184
lle paraît secondaire ou superflue dans la mesure
où
l’on se persuade qu’il s’agit avant tout de calcul… D’où je conclus q
185
se persuade qu’il s’agit avant tout de calcul… D’
où
je conclus qu’il serait plus conforme à l’essence du mariage, et au r
186
type même de l’acte sérieux, c’est dans la mesure
où
elle est faite une fois pour toutes. Seul l’irrévocable est sérieux.)
187
perte : nous sommes ici dans un ordre de grandeur
où
nos mesures et nos équivalences n’ont plus cours.) Mais savons-nous e
188
qui ne sont au vrai que des Don Juan au ralenti.)
Où
est alors la différence ? Et le mari fidèle, ne serait-ce pas simplem
189
tait la chute dans l’illimité, au sein de la Nuit
où
s’effacent les formes, les visages, les destins singuliers : « Non pl
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et l’amour. Car si le désir va vite et n’importe
où
, l’amour est lent et difficile, il engage vraiment toute une vie, et
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ontrées les moins christianisées, précisément, là
où
les religions païennes menaient encore une vie secrète. L’amour-passi
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ccident l’idée de transformer le milieu humain (d’
où
le mythe de la révolution), puis l’idée de transformer le milieu natu
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, puis l’idée de transformer le milieu naturel (d’
où
la technique). Reste à savoir si le christianisme, accueilli par les
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és à l’exalter. Telle fut la tension permanente d’
où
jaillirent nos plus belles créations. Mais ce qui produit la vie prod
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iées, extension du délire passionnel aux domaines
où
il peut entraîner la destruction de notre civilisation. Tout cela est
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st toujours hic et nunc, dans l’acte de l’Éternel
où
notre espoir se fonde. ⁂ Deux thèmes de réflexion, amorcés çà et là d
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assion, la mort d’amour, initie une vie nouvelle,
où
la passion ne cesse d’être présente, mais sous l’incognito le plus ja
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concevoir que la passion — quel que soit l’ordre
où
elle se manifeste — ne trouve son au-delà réel et son salut que par c
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tiques. 99. En quoi consiste le respect, au sens
où
je le prends ici ? En ce que l’on reconnaît dans un être la totalité
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. Une erreur de montage a fait sauter la seconde (
où
notre ami Miatlev protestait de ne pas lire le nom de Lawrence parmi
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elle des « formations traditionnelles », un parti
où
l’on puisse « militer » avec une bonne conscience intellectuelle impo
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l’État totalitaire, brutal et stérilisant. 20. D’
où
l’incapacité essentielle des partis à collaborer dans l’État : au lie
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tique des partis n’est stérile que dans la mesure
où
elle n’est pas radicale. ba. Rougemont Denis de, « D’une critique
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ation, seul il est en mesure de la reconnaître là
où
elle est apparue dans le passé, et là où elle sévit dans le présent.
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aître là où elle est apparue dans le passé, et là
où
elle sévit dans le présent. Croyez bien qu’en tant qu’interprète et t
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t partir des faits… modestement ». Dans la mesure
où
c’est réellement « modeste », — très bien. 110. Un de mes étudiants
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ux aujourd’hui qu’au Moyen Âge peut inquiéter : d’
où
votre enquête, sans doute. Il me paraît au contraire rassurant. Car l
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et c’est le risque qu’il court dans les périodes
où
les choses ont l’air de bien marcher. Voilà pour ma réponse. Mais c’e
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sée, puisqu’il a reçu ses pouvoirs au moment même
où
il devait en faire un usage maximum, de toute urgence. Ainsi le systè
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tout étourdi de sa puissance, et qui ne sait pas
où
l’on cache les dossiers, doit juger plus sagement en 24 heures que le
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e refus d’ouvrir leurs frontières, de l’esclavage
où
ils tiennent leur presse, et de l’orgueil de parvenus de l’industrie
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atteindront-ils bientôt l’âge de majorité civique
où
la démocratie devient possible… To sum up : Liberté, Prospérité et P
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cipe, à observer les règles du jeu dans la mesure
où
elles sont raisonnables, à faire crédit, à payer nos impôts, à exiger
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que son article m’a agacé et m’a mis en colère, d’
où
l’interprétation polémique que j’en ai faite. » L’article de Rougemon