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onscience », a donné par son acte la preuve d’une
obéissance
à Dieu qui devrait être celle de tout croyant ; ou s’il a seulement m
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par excellence, celle de l’État-Dieu, qui veut l’
obéissance
aveugle… » 6° Il n’y a qu’un rapport de lâcheté entre les formes de l
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a de nécessairement constructif, reste le lieu d’
obéissance
privilégié pour le chrétien, mais ne se confond pas avec l’enjeu de s
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c’est une liberté nouvelle. Mais c’est aussi une
obéissance
nouvelle. Je ne conçois de liberté concrète que dans l’exercice fidèl
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vocation personnelle. Liberté devient synonyme d’
obéissance
inconditionnée à mon unique raison d’être14. Nous sommes ici très loi
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l’impossible seuil. L’esprit est acte, l’acte est
obéissance
à la motion de l’éternel. J’ai peut-être entendu quelque parole, on n
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le affirme scandaleusement que c’est avant tout l’
obéissance
, et en second lieu la volonté de faire une œuvre. Car la fidélité n’e
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rée, ni même tuée, mais peut être acceptée dans l’
obéissance
à l’Éternel. Voilà le sens de la Révélation ; l’au-delà n’est pas la
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du Désir qui consume la vie, mais ici-bas, dans l’
obéissance
à la Parole. ⁂ Et qu’aurions-nous alors à craindre du désir ? Cela se
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ents. Car « la figure de ce monde passe », mais l’
obéissance
est toujours hic et nunc, dans l’acte de l’Éternel où notre espoir se
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au-delà réel et son salut que par cette action d’
obéissance
qui est la vie de fidélité. Vivre alors « comme tout le monde », mais
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lité, qui n’est plus qu’un dialogue de grâce et d’
obéissance
. Et le désir de la plus haute passion se voit alors comblé sans cesse