1 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
1 onscience », a donné par son acte la preuve d’une obéissance à Dieu qui devrait être celle de tout croyant ; ou s’il a seulement m
2 par excellence, celle de l’État-Dieu, qui veut l’ obéissance aveugle… » 6° Il n’y a qu’un rapport de lâcheté entre les formes de l
2 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
3 a de nécessairement constructif, reste le lieu d’ obéissance privilégié pour le chrétien, mais ne se confond pas avec l’enjeu de s
3 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
4 c’est une liberté nouvelle. Mais c’est aussi une obéissance nouvelle. Je ne conçois de liberté concrète que dans l’exercice fidèl
5 vocation personnelle. Liberté devient synonyme d’ obéissance inconditionnée à mon unique raison d’être14. Nous sommes ici très loi
4 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
6 l’impossible seuil. L’esprit est acte, l’acte est obéissance à la motion de l’éternel. J’ai peut-être entendu quelque parole, on n
5 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
7 le affirme scandaleusement que c’est avant tout l’ obéissance , et en second lieu la volonté de faire une œuvre. Car la fidélité n’e
8 rée, ni même tuée, mais peut être acceptée dans l’ obéissance à l’Éternel. Voilà le sens de la Révélation ; l’au-delà n’est pas la
9 du Désir qui consume la vie, mais ici-bas, dans l’ obéissance à la Parole. ⁂ Et qu’aurions-nous alors à craindre du désir ? Cela se
10 ents. Car « la figure de ce monde passe », mais l’ obéissance est toujours hic et nunc, dans l’acte de l’Éternel où notre espoir se
11 au-delà réel et son salut que par cette action d’ obéissance qui est la vie de fidélité. Vivre alors « comme tout le monde », mais
12 lité, qui n’est plus qu’un dialogue de grâce et d’ obéissance . Et le désir de la plus haute passion se voit alors comblé sans cesse