1 s qu’il n’y a et qu’il ne peut y avoir encore une orthodoxie de la personne, une société et une économie qui la soutiennent, et qu

2 il ne s’agit pas d’une école ; encore moins d’une orthodoxie personnaliste. Mais de « personnes » qui savent que l’exercice de leu

3 ener la crise actuelle du mariage au conflit de l’ orthodoxie et d’une hérésie médiévale. Car cette dernière, comme telle, n’existe

4 te dernière, comme telle, n’existe plus ; et si l’ orthodoxie existe encore, il faut avouer qu’elle joue un rôle restreint dans la

5 ivons de deux morales dont l’une est héritée de l’ orthodoxie religieuse, mais ne s’appuie plus sur une foi vivante, et dont l’autr

6 ieux que la passion d’amour : celle au moins de l’ orthodoxie contre l’hérésie primitive, mais encore plus agressive, sans doute, p

7 et du conflit de l’hérésie qui en résulta avec l’ orthodoxie chrétienne. Première correction d’importance. Ensuite, il est urgent