1 romanciers. La vérité, c’est que la bourgeoisie n’ ose plus défendre ses vrais buts, et préfère parler d’autre chose. Tous n

2 , ils trahissent leur pensée, leurs désirs, ils n’ osent pas dire, ils n’ont pas de formules pour avouer leur peine, pour dema

3 oir la foule. Il faut donner un sens à sa vision. Oserons -nous dire que c’est la vocation d’Esprit ? Donner un sens à la vision

4 es contradictoires dont aucune ne sait plus, ou n’ ose plus avouer à quelle fin elle conduit ses adeptes. Si vous ne faites

5 re » et sur celles de la gauche. (Car la droite n’ ose pas dire son nom dans ce canton.) Les partis de gauche ont fait liste

6 sur les conditions actuelles — et actuantes si j’ ose dire — de l’œuvre littéraire dans la communauté. Il n’y a pas, et il

7 il suffit que l’on soit un bon soldat. Peut-être oserons -nous rappeler qu’il existe d’autres manières se servir son pays et d’

8 les recettes). Personne, que je sache, n’a encore osé dire que l’amour tel qu’on l’imagine de nos jours est la négation pur

9 iers numéros de ces cahiers. L’extrême droite qui ose dire son nom paraît souvent bien proche de la véritable extrême gauch

10 nier dénonce les équivoques de l’antisémitisme et ose écrire : « Je doute que le prolétariat français éprouve une joie part