1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
1 as d’autre sens pour nous. Bourgeois et marxistes partent de la nécessité du gain, — gagner sa vie. Nous partons de la liberté
2 nt de la nécessité du gain, — gagner sa vie. Nous partons de la liberté du risque, — perdre sa vie. Cette opposition est tellem
3 e relative du communisme et du capitalisme. ⁂ Ils partent donc de la nécessité. Ils n’arriveront jamais à la liberté, au loisir
4 la fameuse législation du travail (c’est-à-dire à partir du travail), sinon toutefois l’organisation des loisirs, qui lui sera
2 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
5 eul souci est d’être, le plus fidèlement. C’est à partir d’elle seule qu’un art original se développera naturellement en un ar
3 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
6 i arrive avec son violon. Dresse-toi, viens, nous partons dans le vaste monde. À ceux-là, je dois la nourriture de ma maison, c
4 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
7 l’histoire, le fait extrême, le concretissimum à partir duquel nous puissions penser activement la personne, c’est-à-dire réd
5 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
8 ⁂ Résumons les données de ce drame. Le communisme est parti d’un principe qu’il tirait logiquement de Marx, et dont il entendait
9 l fallait enregistrer cette démission. Il fallait partir d’autre chose que de l’individu : de l’État, de la classe ou de la ra
6 1936, Esprit, articles (1932–1962). Note sur nos notes (novembre 1936)
10 iginal, influencé, etc., tout cela n’importe qu’à partir des réponses que l’on donne au problème éternel : où sommes-nous, d’o
7 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
11 ie la plus sanglante. La politique ne doit jamais partir de la réalité irrationnelle de l’homme : d’ailleurs elle ne le pourra
12 lusieurs reprises que la politique idéale devrait partir de la personne. Elle doit tenir compte de la personne, et finalement
13 l’extérieur. Une politique saine ne saurait donc partir de la personne, mais au contraire de l’impersonnel, pour se diriger c
14 s gens en deuil ! » — Mais, monsieur Simard… — Il est parti . Le bassin est à 50 mètres de la maison, sur une terrasse qu’on ne pe
8 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
15 elle nouveauté ? Ou encore pour créer tout cela à partir des formes existantes ? Il ne s’agit pas pour nous de « révolutionner
16 que le bourgeois craintif prête à ce terme. Nous partons , dans ce pays, d’un certain nombre de structures politiques et morale
9 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
17 gue et flatteur. Comment expliquer autrement qu’à partir du xiie siècle, celui qui commet l’adultère devienne soudain un pers
18 , de l’intégrer dans l’existence communautaire. À partir du xviiie siècle, le thème du « Coucher de la mariée » n’est plus qu
10 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
19 veloppée dans notre histoire et nos cultures qu’à partir des xiie et xiiie siècles, et par l’impulsion décisive de l’hérésie
11 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
20 bjectifs » dont l’historien prétend communément «  partir  »109. Je crois qu’il y a un matériel hétéroclite de textes, de dates,
21 ar les anciens comme une maladie de l’âme. Mais à partir du xiie siècle, et par l’effet de confusions mystiques, l’exaltation
22 ucien Febvre : « La méthode de l’historien, c’est partir des faits… modestement ». Dans la mesure où c’est réellement « modest