1 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
1 n succès auprès des clercs, soit pour rappeler au passage quels intérêts temporels concoururent à cette adoption pernicieuse. M
2 ’il ne fait rien pour conquérir. Il espère que le passage du droit au fait (du droit de la philosophie au fait de son gouvernem
2 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
3 i dans le ciel. L’esprit n’a pas de siège. Il est passage , prise, saisissement. L’esprit se manifeste dans la main qui réalise
4 vre de Job — dont Ramuz nous a retraduit quelques passages — où toute une théologie s’exprime entièrement par des choses (s’agît
5 ividu, qui constitue le vrai sujet de ses romans. Passage du Poète — ou du diable (dans le Règne de l’esprit malin), entrée du
6 nominalistes. On croit voir transparaître dans ce passage des Six Cahiers le « négatif », admirablement pris, d’un portrait de
7 u décor de son apparition. Aussi bien la suite du passage nous ramène au niveau proprement ramuzien : « J’ai la haine du confor
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). Erskine Caldwell, Le Petit Arpent du Bon Dieu (novembre 1936)
8 admirable Déclin du Moyen Âge 62, a là-dessus un passage qui pourrait être écrit tout exprès pour l’œuvre de Caldwell : On ai
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours (mars 1937)
9 bonhomie et rosseries négligentes, vagabondages, passages , glissements, liaisons, circulation… Thibaudet s’est parfaitement déf
10 lui de Juillet 1789 et de Juillet 1830. » De tels passages — et ils foisonnent — donnent la mesure de l’écrivain et de l’artiste
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
11 t-Gothard : mais c’est pour assurer la liberté de passage , et non pas pour barrer le col sous prétexte de nous mettre à l’abri 
6 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
12 « simple hypothèse », dit l’auteur) ; soit sur le passage où Jésus proclame que l’homme ne doit pas séparer ce que Dieu a uni ;