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christianisme et sa nouveauté menaçante. ⁂ Que la
passion
qui nous arrache ce cri, nous rende aussi lucides et efficaces ! Nous
2
uencent leurs lecteurs au hasard, aux hasards des
passions
du jour, sans soupçonner les conséquences, économiques ou religieuses
3
ion. Deux êtres très divers se sont unis dans une
passion
grave, exigeante, à l’écart d’une société hostile, dans une ascèse mo
4
la communauté qui peut s’instituer par le jeu des
passions
, ou les liens du métier, ou certains accidents heureux, entre des jeu
5
élatrices : il fait comprendre enfin dans quelles
passions
profondes le mouvement hitlérien est né et a pris son élan. C’est une
6
dépendants. Que les clercs refusent d’épouser les
passions
politiques ou sociales qui selon eux mènent le monde à sa perte ; qu’
7
précises ». Et que le monde suive le cours de ses
passions
! Pour sa part, il s’en lave les mains. Pilate fut le premier clerc p
8
d’élégance, — et l’abandonnent libéralement à sa
passion
? Mais en face de Pilate : « Voici l’homme » ! Et que dit cet homme ?
9
ue plus riche et plus vivante, apte à décrire les
passions
, et la nature et la diversité des êtres. Il fallait désormais recouri
10
des partis dictatoriaux eux-mêmes. De là toute la
passion
avec laquelle ils parlent de la nécessité d’un homme nouveau — en All
11
liberté de se plaindre, mais de se plaindre sans
passion
profonde. La misère n’est encore qu’à la porte, mais on dirait qu’il
12
», et ce sous-titre, vers la fin : « Retour à la
passion
». Et maintenant nos routes se joignent. x. Rougemont Denis de, «
13
r son compte, y répondre. Elles jaillissent d’une
passion
de construire, d’une vision grande du but commun. Bien écrit, mal écr
14
es concerts, bref, se cultive avec cette sorte de
passion
que le Français réserve, présentement, sous son régime de liberté, à
15
provisoire aux grands errants de l’esprit et des
passions
occidentales : Bâle et Genève au temps de la Réforme, Érasme, Holbein
16
fier nos pays. Il y aura de nouveau du jeu, de la
passion
, des communications fécondes entre les êtres, une circulation des cul
18
à une forme toute nouvelle de l’amour humain : la
passion
. Ignorée des Anciens, ou considérée par eux comme une maladie, la pas
19
iens, ou considérée par eux comme une maladie, la
passion
sera désormais le grand sujet d’exaltation de la littérature occident
20
t ses instincts asservissants. L’apparition de la
passion
d’Amour devait donc transformer radicalement le jugement porté sur l’
21
ennes, dont le sous-entendu est à peu près que la
passion
est l’épreuve suprême, que tout homme doit un jour la connaître, et q
22
écue que par ceux qui « ont passé par là ». Or la
passion
et le mariage sont par essence incompatibles. Leurs origines et leurs
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c’est-à-dire l’inconscience pourrait fournir à la
passion
une espèce de modus vivendi, et tous ces livres aggravant au contrair
24
se marie encore « sans y croire ». Le rêve de la
passion
possible agit comme une distraction permanente, anesthésiant les révo
25
t les révoltes de l’ennui. On n’ignore pas que la
passion
serait un malheur — mais on pressent que ce serait un malheur plus be
26
son « petit bonheur »… Ou l’ennui résigné, ou la
passion
: tel est le dilemme qu’introduit dans nos vies l’idée moderne du bon
27
isation de l’attrait sexuel, sa transformation en
passion
. Et c’est de là que nous vient, par la littérature, cette idée toute
28
re, cette idée toute moderne et romantique que la
passion
est une noblesse morale, qu’elle nous met au-dessus des lois. Celui q
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le nous met au-dessus des lois. Celui qui aime de
passion
accède à une humanité plus haute, où les barrières sociales, entre au
30
auté de l’amour sur l’ordre social établi. Que la
passion
profane soit une absurdité, une forme d’intoxication, une « maladie d
31
te nuance est décisive. Le moderne, l’homme de la
passion
, attend de l’amour fatal quelque révélation, sur lui-même ou la vie e
32
primitive. De la poésie à l’anecdote piquante, la
passion
c’est toujours l’aventure. C’est ce qui va changer ma vie, l’enrichir
33
libre un homme qui se possède. Mais l’homme de la
passion
cherche au contraire à être possédé, dépossédé, jeté hors de soi, dan
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ce n’est qu’un début —, un homme qui se prend de
passion
pour une femme qu’il est seul à voir belle, est présumé neurasthéniqu
35
té-standard : elle définit d’avance l’objet de la
passion
— dépersonnalisé dans cette mesure — et disqualifie le mariage, si l’
36
à Gable ou à Taylor !) Ainsi la « liberté » de la
passion
relève des statistiques publicitaires. L’homme qui croit désirer « so
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« mariage d’amour » moderne : le mariage avec la
passion
! Mais aussitôt paraît une anxiété dans l’entourage (ou le public) :
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qu’on perd en la possédant. Alors commence une «
passion
» nouvelle. On s’ingénie à renouveler l’obstacle et le combat. On ima
39
er et pour exalter ce désir aux proportions d’une
passion
consciente, intense, infiniment intéressante… Or c’est la douleur seu
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Or c’est la douleur seule qui rend consciente la
passion
, et c’est pourquoi l’on aime souffrir et faire souffrir. Lorsque Tris
41
lus rien ne s’oppose à leur union, le génie de la
passion
dépose entre leurs corps une épée nue. Descendons quelques siècles et
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lui révéler son secret, il n’est d’au-delà de la
passion
que dans une passion nouvelle — dans le tourment nouveau de la poursu
43
et, il n’est d’au-delà de la passion que dans une
passion
nouvelle — dans le tourment nouveau de la poursuite d’apparences touj
44
ugitives. Il était de la nature essentielle de la
passion
mystique d’être sans fin terrestre — et c’est par là que cette passio
45
re sans fin terrestre — et c’est par là que cette
passion
se détachait des rythmes du désir charnel ; mais tandis que pour Tris
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e délivrer qu’en échappant au monde fini. Mais la
passion
dite « fatale » — c’est l’alibi — où se complaisent les modernes, ne
47
tion. Mais Don Juan ne connaît pas d’Iseut, ni de
passion
inaccessible, ni de passé ni d’avenir, ni de déchirements voluptueux.
48
me pas ce qui lui résiste. ⁂ Aimer, au sens de la
passion
, c’est alors le contraire de vivre ! C’est un appauvrissement de l’êt
49
rs se ramènent au schéma monotone des ruses de la
passion
pour s’« entretenir », — des ruses d’une passion débile pour s’invent
50
passion pour s’« entretenir », — des ruses d’une
passion
débile pour s’inventer de plus secrets obstacles. Je songe à la psych
51
d’amour actif. ⁂ Je n’entends pas ici attaquer la
passion
: je me borne à la décrire et à la « réciter » comme dit Montaigne, s
52
it faire voir, par quelques traits, comment cette
passion
développe un certain nombre de fatalités psychologiques dont les effe
53
n de l’une ou de l’autre, il faut admettre que la
passion
ruine l’idée même du mariage dans une époque où l’on tente la gageure
54
, sur les valeurs élaborées par une éthique de la
passion
. Certes, il serait excessif d’estimer que la plupart de nos contempor
55
uteurs donnent quelques lignes à la louange de la
passion
, ou tout au moins affectent de la tolérer : pour des raisons trop fac
56
même parfois jusqu’à ce paradoxe de présenter la
passion
amoureuse comme le couronnement d’un hymen idéalement réalisé (d’aprè
57
ne remonte pas le courant de toute l’époque ; la
passion
a toujours existé, elle existera donc toujours, et nous ne sommes pas
58
ait pas s’organiser sans un constant recours à la
passion
des premiers révolutionnaires : or c’était cette passion précisément
59
des premiers révolutionnaires : or c’était cette
passion
précisément que l’on entendait « liquider ». D’où l’absolue nécessité
60
niale de la jeunesse. La décadence du mythe de la
passion
dans la patrie du romantisme entraînait d’autre part des conséquences
61
donner pour seul objet légitime et possible à la
passion
: l’idée de nation symbolisée par le Führer. D’abord on prive la femm
62
indépendants des « goûts » individuels, donc des
passions
. À chacun sa « fiche de mariage ». Alors la science matrimoniale trou
63
s indispensables à la reconstitution du mythe. La
passion
, officiellement éliminée, disqualifiée, et définie comme simple défic
64
u besoin « spirituel », et donc artificiel, de la
passion
. Alors le cycle de l’amour courtois sera fermé. L’Europe de la passio
65
le de l’amour courtois sera fermé. L’Europe de la
passion
aura vécu. Un Occident nouveau, imprévisible, naîtra dans les laborat
66
s’il n’y en a pas — et toute la dialectique de la
passion
qui se distingue de celle du désir en ce qu’elle refuse la satisfacti
67
ue pour un Ancien. av. Rougemont Denis de, « La
passion
contre le mariage », Esprit, Paris, septembre 1938, p. 652-670.
68
es raisons de le consentir. J’ai voulu décrire la
passion
comme une entité historique, née dans un temps et dans des lieux déte
69
e serait pas négligeable. Mais peut-on décrire la
passion
? On ne décrit pas une forme d’existence sans y participer, fût-ce mê
70
cela peut avoir un sens : approuver ou rejeter la
passion
. Combien serait vaine l’attitude intellectuelle qui se définirait ell
71
définirait elle-même comme une condamnation de la
passion
: il suffit, pour l’apercevoir, d’observer que la passion, quelle qu’
72
: il suffit, pour l’apercevoir, d’observer que la
passion
, quelle qu’elle soit, ne peut ni ne veut « avoir raison ». Contre ell
73
s l’instant qu’on parle raison. Car l’homme de la
passion
est justement celui qui choisit d’être dans son tort, aux yeux du mon
74
chapper au démon que l’on fixe ? Pour attaquer la
passion
dans l’amour, il faudrait développer une violence spirituelle qui tue
75
per une violence spirituelle qui tue mieux que la
passion
d’amour : celle au moins de l’orthodoxie contre l’hérésie primitive,
76
r que la Croisade, au total, fut un échec dont la
passion
sut profiter.) C’est qu’avant tout et après tout, à l’origine et à la
77
tout et après tout, à l’origine et à la fin de la
passion
, il n’y a pas une « erreur » sur l’homme ou Dieu — a fortiori pas une
78
de l’homme, qui veut être lui-même son dieu93. La
passion
brûle dans notre cœur sitôt que le serpent au sang-froid — le cynique
79
ela seul qu’il s’agit, pour qui veut surpasser la
passion
. Quant à stériliser le milieu culturel où la passion plonge ses racin
80
sion. Quant à stériliser le milieu culturel où la
passion
plonge ses racines, il est probable que l’État s’en chargera, c’est s
81
ne du salut). À vues humaines, la guérison de nos
passions
viendra de l’État, ce Sauveur anonyme qui assumera le poids de toutes
82
Mais je ne pouvais écrire un livre entier sur la
passion
sans achever ma description par ce trait qui enfin la situe, non dans
83
ait qui enfin la situe, non dans l’abstrait où la
passion
ne peut exister — et alors en parler n’est qu’une farce — mais dans l
84
Si je ne vois pas de raison qui tienne contre la
passion
véritable, il m’apparaît en second lieu que la raison n’est guère plu
85
aison plus qu’eux tous, lui qui d’abord exalte la
passion
, comme étant la suprême valeur du « stade esthétique » de la vie ; pu
86
Dieu est « essentiellement malheureux », et cette
passion
chrétienne est la seule vérité, et tous nos « devoirs » humains (dont
87
ut ce qui porte une chance de grandeur. (Comme la
passion
!) ⁂ Les moralistes et certains sociologues (dont Engels) ont essayé
88
raison et l’intérêt : quand ils n’auront plus de
passions
, quand ils cesseront de préférer l’erreur comme telle, quand ils cess
89
construction. « Absurde » au moins autant que la
passion
, elle se distingue de la passion par un refus constant de subir ses r
90
ns autant que la passion, elle se distingue de la
passion
par un refus constant de subir ses rêves, par un besoin constant d’ag
91
t toutes les raisons du monde de dire oui à cette
passion
éblouissante, — dire non en vertu de l’absurde, en vertu d’une promes
92
re clair. Tristan lui aussi fut fidèle ! Et toute
passion
véritable est fidèle. (Pour ne rien dire des successives fidélités de
93
appelle Iseut, mais à sa plus profonde et secrète
passion
. Le mythe s’empare de l’« instinct de mort » inséparable de toute vie
94
t » moderne, et qui détient l’intime secret de la
passion
, au-delà de ce que les psychologues peuvent y lire. ⁂ « Notre engagem
95
— et non plus de la vie pour la mort (c’était la
passion
de Tristan). ⁂ L’amour fidèle de Tristan détruisait son bonheur et sa
96
itial et juré de « cultiver » les illusions de la
passion
, de leur rendre un culte secret, et d’en attendre un mystérieux surcr
97
foudre », et encore moins à la « fatalité » de la
passion
. Le « coup de foudre » est sans doute une légende accréditée par Don
98
réditée par Don Juan, comme la « fatalité » de la
passion
est accréditée par Tristan. Excuse et alibi qui ne peuvent tromper qu
99
e, l’homme qui se domine, ce n’est pas faute de «
passion
» (au sens de tempérament) mais c’est qu’il aime, justement, et qu’en
100
e mariage comme cette institution qui contient la
passion
non plus par la morale, mais par l’amour. 6. Les paradoxes de l’Oc
101
es de l’Occident Ces quelques remarques sur la
passion
et le mariage mettent en lumière l’opposition fondamentale de l’Éros
102
principe de correction que nos recherches sur la
passion
peuvent établir. ⁂ Les Orientaux caractérisent l’Europe par l’importa
103
il est vrai que ces trois termes : christianisme,
passion
, dynamisme, correspondent aux trois traits dominants de la psyché occ
104
e n’est pas le christianisme qui a fait naître la
passion
, mais c’est une hérésie d’origine orientale. Cette hérésie s’est répa
105
récise, historiquement, à la passion103. Comme la
passion
, le goût de la guerre procède d’une conception de la vie ardente qui
106
ique, ne saurait être un seul instant ramené à la
passion
. L’attitude humaine qu’il révèle est l’antithèse exacte de la passion
107
humaine qu’il révèle est l’antithèse exacte de la
passion
: c’est une affirmation de la valeur des choses créées, de la matière
108
une application de l’esprit au monde visible. La
passion
ni la foi hérétique dont elle est née ne sauraient proposer comme but
109
s par une volonté exactement contraire à celle de
passion
. Ce qui peut induire en erreur, et ce qui a introduit de fait une fat
110
et en particulier de la technique. C’est alors la
passion
nationale et guerrière qui va devenir le principal moteur de la reche
111
le génie technique. La guerre mécanisée évacue la
passion
; et la technique en devenant mortelle, trahit les ambitions dont ell
112
ongtemps cultivé la religion antichrétienne de la
passion
. ⁂ Faut-il conclure que la passion serait la tentation orientale de l
113
rétienne de la passion. ⁂ Faut-il conclure que la
passion
serait la tentation orientale de l’Occident ? S’il est vrai qu’elle n
114
notre chance dramatique est d’avoir résisté à la
passion
par des moyens prédestinés à l’exalter. Telle fut la tension permanen
115
, de la personne, du mariage, — et du refus de la
passion
. Elle suppose l’acceptation du différent, et donc de l’incomplet, la
116
la fidélité, et donne des chances nouvelles à la
passion
. C’est notre vie et notre mort. Et c’est pourquoi la crise moderne du
117
l’évasion, l’envahissement de la culture par les
passions
nationalistes : tout ce qui tend à ruiner la personne. Mais ce sont l
118
la personne. Il se peut que les excès mêmes de la
passion
provoquent et recréent des résistances, c’est-à-dire des formes nouve
119
rès tout, n’est-ce pas encore une tentation de la
passion
que ce souci des lendemains qui obsède aujourd’hui tant de fronts ? N
120
Je l’ai dit et j’y insiste encore : condamner la
passion
en principe, ce serait vouloir supprimer l’un des pôles de notre tens
121
in qui « condamne » de la sorte et à priori toute
passion
, c’est qu’il n’en a connu aucune, et qu’il est en deçà du conflit. Po
122
dire dans le drame passionnel. Mais au-delà de la
passion
vécue jusqu’à l’impasse mortelle, que pouvons-nous désormais entrevoi
123
selon le monde. Ici l’obstacle indispensable à la
passion
est d’une nature à tel point subjective, singulière et incomparable,
124
ns ici à l’extrême limite, à l’origine pure de la
Passion
, — mais du même coup nous sommes jetés au cœur même de la foi chrétie
125
lui rien que de fini108… » Ainsi l’extrême de la
passion
, la mort d’amour, initie une vie nouvelle, où la passion ne cesse d’ê
126
, la mort d’amour, initie une vie nouvelle, où la
passion
ne cesse d’être présente, mais sous l’incognito le plus jaloux : car
127
logie de la foi, l’on peut alors concevoir que la
passion
— quel que soit l’ordre où elle se manifeste — ne trouve son au-delà
128
oivent une autre vocation, épousent Régine, et la
passion
revit dans leur mariage, mais alors « en vertu de l’absurde ». Et ils
129
n aspect particulier du mouvement de retour de la
passion
, tel que l’a décrit Kierkegaard. Au sommet de l’ascension spirituelle
130
l nous raconte dans le langage de la plus ardente
passion
, saint Jean de la Croix connaît que l’âme atteint un état de présence
131
âce et d’obéissance. Et le désir de la plus haute
passion
se voit alors comblé sans cesse dans l’acte même d’obéir, en sorte qu
132
logie de la foi, l’on peut alors concevoir que la
passion
, née du mortel désir d’union mystique, ne saurait être dépassée et ac
133
mie. 95. La gauloiserie n’étant pas moins que la
passion
une évasion hors du réel, une façon de l’idéaliser. 96. J’emploie ce
134
re le mythe, et veut croire aux révélations de la
passion
. 101. B. Croce, Etica e Politica. 102. Leo Ferrero, Désespoirs. Le
135
102. Leo Ferrero, Désespoirs. Le problème de la
passion
est admirablement défini par ce petit livre, dans ses données actuell
136
iques. 103. À partir de cette règle commune à la
passion
et à la guerre que fut la chevalerie médiévale. 104. « L’idée antiqu
137
e note précise : « Voir Esprit, septembre : « La
passion
contre le mariage ». Ces deux essais sont extraits d’un ouvrage à par
139
premiers de ceux qui se sont attaqués à la fausse
passion
) et la réponse de Rougemont. La voici : Au sujet de la lettre du R. P
140
étienne. az. Rougemont Denis de, « Suite à “La
passion
contre le mariage” », Esprit, Paris, décembre 1938, p. 480.