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e liberté, toute idée de propriété, toute idée de
patrie
… [et l’énumération se poursuit jusqu’à ceci ] : Chose plus atroce enc
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ut-être un jour prochain, de parler de nouveau de
patrie
. Il y a vraiment du nouveau dans cette œuvre, et c’est à nous plus qu
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peu à peu dans leurs épreuves la réalité de leur
patrie
perdue. Ils découvrent surtout que cette patrie pour laquelle ils se
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r patrie perdue. Ils découvrent surtout que cette
patrie
pour laquelle ils se sont battus et qui n’a plus la force d’utiliser
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« idées de propriété, de famille, de religion, de
patrie
». Les idées de qui ? Si ce sont celles que les bourgeois et les stal
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cela nous n’aurons pas liquidé la religion et la
patrie
, nous n’aurons liquidé que leur « ignoble » exploitation, nous les sa
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esse. La décadence du mythe de la passion dans la
patrie
du romantisme entraînait d’autre part des conséquences bien plus comp