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’en inquiètent à juste titre, sachent ce que nous
pensons
des manifestations récentes de l’état d’esprit candidard : les dessin
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s n’est plus de la pensée ; une action qu’on ne «
pense
» pas ne peut pas être créatrice. En tant que révolutionnaires, c’est
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simplement sa conclusion le classe, quoi qu’il en
pense
, dans cette phalange de rhéteurs qui va de Jaurès à Sangnier ; car c’
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le christianisme parle sans cesse de l’Éternité,
pense
continuellement à l’Éternel, — et que la chrétienté ensuite parle de
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a chrétienté ensuite parle de la même façon, mais
pense
à cette vie terrestre. Kierkegaard (Journal). La volonté de rupture
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pensée » et de l’« action ». Nous réapprendrons à
penser
en hommes responsables, à penser dans le risque total de l’être, qui
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réapprendrons à penser en hommes responsables, à
penser
dans le risque total de l’être, qui est l’acte. Nous penserons avec d
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s le risque total de l’être, qui est l’acte. Nous
penserons
avec des mains créatrices. Nous dirons : le but du travail, ce n’est
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craint d’affirmer leur morale. Elles n’ont jamais
pensé
qu’une œuvre d’art perdrait de sa valeur à illustrer des « thèses »,
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; les idées vivantes sont des actes. Apprenons à
penser
en actes, c’est-à-dire à penser avec les mains, ou encore à ne rien p
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dire à penser avec les mains, ou encore à ne rien
penser
qui n’engage en puissance notre être tout entier, corps et âme sans d
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ntier, corps et âme sans distinction. Apprenons à
penser
comme des hommes responsables, non plus comme des amuseurs de salon.
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s n’avez pas de livres remèdes ? Pourquoi vous ne
pensez
jamais aux désespérés ? Tous vos livres disent non à la vie. C’est fa
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ourage ? N’aurez-vous jamais que le plus bas ? Ne
penserez
-vous jamais à ceux qui ont besoin de comprendre le monde ? — J’ai une
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le concretissimum à partir duquel nous puissions
penser
activement la personne, c’est-à-dire réduire la distance qui sépare n
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table ennui. Ouvrez une revue de province si vous
pensez
que j’exagère. Faut-il donc mettre une barre sous la rubrique surréal
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point de pouvoir intégrer les formes nouvelles de
penser
instituées par la physique relativiste. Mais Staline, on le sait, a c
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responsabilité concrète. On supprime le risque de
penser
dans la réalité lourde et « mal compassée » (Descartes). Et plus rien
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de la pensée, autrement dit : devant le risque de
penser
le réel pour l’informer. Pour l’informer et non pour le décrire ! Pou
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ur d’un désintéressement de cette espèce. Mais on
pense
bien que Renan n’aurait pas pris la peine de défendre ces lieux commu
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en des agréments, s’il est vrai que la liberté de
penser
et d’écrire à sa guise, la pauvreté, le risque matériel, le nomadisme
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chevaux. Quant au salut, il est gratuit. Et je ne
pense
pas que M. Duhamel compte acheter son « immortalité » académique. 28
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losophe est dégagé de toute responsabilité. Qu’il
pense
dans le vide, hors de toute sanction, comme aussi hors de toute urgen
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ont en émeute : voilà le fait. J’ai dit ce que je
pensais
, voilà le droit. Maintenant il faut les apaiser, il faut relâcher Bar
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tout le volume du fanatisme hitlérien pour savoir
penser
au bout du compte : « La vraie lutte commence là ». « Anti-fascistes
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te abondance de noms de choses ! Comment ne point
penser
à ce Livre de Job — dont Ramuz nous a retraduit quelques passages — o
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que revêt chez Ramuz la faculté d’imaginer et de
penser
dans l’ordre de l’incarnation, devait le conduire à créer un milieu o
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op volontairement détaillés. Mais l’important, je
pense
, c’est qu’une page de Ramuz — même pas très réussie, et il y en a, il
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où notre vie s’accepte. Aux premières pages j’ai
pensé
: document sur les déceptions d’une génération. Puis j’ai trouvé ce c
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Nous ne sommes pas une école littéraire. Nous ne
pensons
pas que le temps soit venu d’inventer des canons esthétiques, ni même
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que la préface et l’épilogue ne le donneraient à
penser
. Parlons net : il s’agit ici d’un dégonflage impitoyable de ce qu’il
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out d’abord quelques citations : L’homme ne peut
penser
et créer que s’il est libre. — Nous avons toujours admis la légitimit
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« la raison ». Mais l’ensemble du manifeste donne
penser
que c’est plutôt la tactique… Si le Français, né malin, ne doit pas m
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taline ont plus d’un trait commun, quoi qu’ils en
pensent
. ai. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Jacques Benoist-Méchin,
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es « lois » économiques ou sociologiques que nous
pensons
avoir récemment « découvertes » ne sont, au sens freudien du terme, q
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nous pas entrés dans la grande cuisine qui était,
pensions
-nous, tout leur logis — nous avions cru comprendre que les autres piè
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, et à manger, et à laver, il me semble ? — Je ne
pense
pas comme vous, Monsieur, mais il a tort pour la lessive. Voyez-vous
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quelques heures plus tard, exactement ce que l’on
pense
, ce que l’on a ressenti…, tout ce qui a pu vous frapper, quels qu’en
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ure impondérable, le papillon rose. J’ai toujours
pensé
que c’étaient là les armes de l’esprit contre le commerce. Deux-mille
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ristocratique des débuts du surréalisme. Mais que
penser
alors de cette conclusion : « Ils (les poètes) ont leur conscience po
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s. Voir Léon Bloy (Exégèse des lieux communs). Je
pense
que la pureté dont parlent les surréalistes devrait impliquer la rigu
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end tout de même quelque chose. S’il est vrai que
penser
, pour les jeunes, équivaut à gagner de l’argent, M. Benda est auprès
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es mêmes que nous aurons à surmonter. Quoi qu’en
pensent
des observateurs trop pressés ou intéressés, il existe une « générati
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omme une des conditions de leur création. Et nous
pensons
qu’il n’est pas vain de le prouver en les réunissant ici, fût-ce par
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dans lequel et contre lequel elle s’édifie. Je ne
pense
pas qu’il soit souhaitable d’en dire plus, au seuil de la série de «
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rtin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)as Je ne
pense
pas qu’il soit utile de parler dans Esprit de tout ce qui vient de pa
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e chose, même s’ils préfèrent l’ignorer — nous ne
pensons
pas que cette limitation normale — et normative — doive se traduire p
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soi-disant bénéficiaires. Hors de chez nous, l’on
pense
généralement : la Suisse tire son épingle du jeu. Neutralité égale pr
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(Que serait-ce si je vivais en Suisse ?) Mais je
pense
qu’on n’atteint la grandeur qu’en utilisant ses défauts, en s’élevant
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me d’intoxication, une « maladie de l’âme » comme
pensaient
les Anciens, tout le monde est prêt à le reconnaître, c’est un des li
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ïve et — j’ai beau dire ! — la plus « naturelle »
pensera-t
-on… Illusion de liberté. Et illusion de plénitude. Je nommerais libre
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t contre leur humanisme. Que dit l’Apôtre ? « Je
pense
qu’il est bon pour l’homme de ne point toucher de femme. Toutefois, p
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sens actuel. Car pour ceux du siècle présent, je
pense
que la fidélité se définit comme la moins naturelle des vertus, et la
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e semble qu’en général on l’a compris comme je le
pensais
: ce n’est point le sacrement qui « fait question », selon M. Lavaud,
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eau . Ils étaient les premiers à le dire. Et l’on
pensait
qu’ils seraient les premiers à y croire, et à le prouver. Or, il ne p
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re, ou comme on dit : « intellectualiste ». Je ne
pense
pas que cela soit décisif. Je crains bien qu’au contraire le mouvemen
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la paix. Vous avez bien envie de savoir ce que je
pense
de l’URSS ? Mais aussi… Une moitié de moi-même se révolte au spectacl
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ergie et beaucoup moins de naïveté que nous ne le
pensons
, ils embrassent mieux que nous la confusion du siècle, ils y sont ins
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Sartre attaque l’Europe « au fond, il ne fait que
penser
à l’Algérie ». J’avais dit pour ma part deux mois plus tôt, et vous m
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vous me citez : « Quand Sartre écrit Europe il ne
pense
qu’à la France, et quand il pense France, il ne voit que le drame alg
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it Europe il ne pense qu’à la France, et quand il
pense
France, il ne voit que le drame algérien. » Les deux phrases semblent