1 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
1 e littérature, et quelques vertus d’homme et de «  penseur  » en plus. J’indiquerai trois de ces vertus qui me paraissent fort pe
2 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
2 se figurer, d’ailleurs d’une façon vague, que les penseurs sont des gens peu pratiques, par suite, que la pensée n’est guère qu’
3 à ses prises prudentes. Et ces lois confirment le penseur dans l’idée que l’esprit « distinct » reste sans force créatrice. Plu
4 ue ce problème n’est plus jamais posé que par des penseurs sans audience et sans prestige dans l’État ; — et décide en conséquen
3 1937, Esprit, articles (1932–1962). M. Benda nous « cherche », mais ne nous trouve pas (juillet 1937)
5 de l’argent, M. Benda est auprès de nous un grand penseur , mais M. Dekobra est notre maître à tous. Et s’il est vrai que celui