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e littérature, et quelques vertus d’homme et de «
penseur
» en plus. J’indiquerai trois de ces vertus qui me paraissent fort pe
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se figurer, d’ailleurs d’une façon vague, que les
penseurs
sont des gens peu pratiques, par suite, que la pensée n’est guère qu’
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à ses prises prudentes. Et ces lois confirment le
penseur
dans l’idée que l’esprit « distinct » reste sans force créatrice. Plu
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ue ce problème n’est plus jamais posé que par des
penseurs
sans audience et sans prestige dans l’État ; — et décide en conséquen
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de l’argent, M. Benda est auprès de nous un grand
penseur
, mais M. Dekobra est notre maître à tous. Et s’il est vrai que celui