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justice humaine désormais ne saurait l’esquiver.
Personne
n’a réfuté ces témoignages, cette plaidoirie. Le président n’avait ri
2
il ne serait poussé que par quelques-uns, rien ni
personne
ne pourra faire qu’il n’y ait eu cette preuve, aujourd’hui, d’une vol
3
les plus « avancées » des professions de foi dont
personne
ne songe à contester l’opportunité. (Cette tolérance peut d’ailleurs
4
uvegarder l’acte créateur, fondement humain de la
personne
, il faut légiférer à partir de cet acte. Il ne peut sortir d’un systè
5
il y a d’une part les moralistes bourgeois — mais
personne
ne croit plus à la morale bourgeoise — d’autre part les immoralistes,
6
nt bien davantage de la gratuité de leurs drames.
Personne
ne croyant plus à rien — j’entends personne ne prouvant plus qu’il cr
7
ames. Personne ne croyant plus à rien — j’entends
personne
ne prouvant plus qu’il croit à l’essentiel de ce qu’il dit —, la crit
8
considéré dans sa vocation créatrice, — c’est la
personne
. Que la mesure de tout soit désormais dans la personne, et non plus d
9
nne. Que la mesure de tout soit désormais dans la
personne
, et non plus dans les intérêts d’un pouvoir ou d’une classe, voilà bi
10
re des hommes. » Nous dirons première heure de la
personne
. Ceux qui n’ont pas en eux cette mesure de l’homme, que pourraient-il
11
moyens d’expression leur importance de moyens. La
personne
est toujours originale quand elle est. Son seul souci est d’être, le
13
ste à les toucher et à les voir. Car un objet que
personne
n’a vu ni touché appartient à la connaissance qu’on nomme abstraite,
14
sissables pour l’entendement. 5. L’acte est la
personne
Puisqu’il est manifeste que l’acte est le perpétuel auteur de notr
15
de cette image, autorisée par l’étymologie du mot
personne
, nous pouvons voir d’abord que de l’individu à la personne, la différ
16
nous pouvons voir d’abord que de l’individu à la
personne
, la différence est celle du figurant anonyme à l’acteur, de celui qui
17
s pouvons voir ensuite un premier caractère de la
personne
immédiatement lié aux conditions de son apparition, j’entends à la pr
18
n, j’entends à la présence et à l’engagement : la
personne
n’est jamais seule, elle est essentiellement en communication. Le fig
19
l n’est plus un isolé, mais un prochain. 6. La
personne
est une vocation Qu’on n’oublie pas que la scène du drame, tout bi
20
t que chacun peut voir qu’il existe, en fait, des
personnes
; cependant que chacun peut savoir en quoi consiste sa propre personn
21
que chacun peut savoir en quoi consiste sa propre
personne
. Ma personne, c’est ma présence au monde et à moi-même conjointement
22
ut savoir en quoi consiste sa propre personne. Ma
personne
, c’est ma présence au monde et à moi-même conjointement ; aux vrais o
23
de l’école : présence, événement, concret, acte,
personne
. À tel point que la vraie définition d’un de ces termes n’est pas ail
24
ndividu en acte, et qui devient à cet instant une
personne
. L’homme n’est un vrai sujet que parce qu’il est personnellement assu
25
n indescriptible que nous appelons l’éternel. La
personne
est le témoignage d’une vocation reçue et obéie. Je suis personne dan
26
témoignage d’une vocation reçue et obéie. Je suis
personne
dans la mesure où mon action relève de ma vocation, fût-ce au prix de
27
ncomparable de sujet ; si l’on admet enfin que la
personne
est proprement la sujétion de l’homme à l’éternel et de l’objet à l’h
28
rnel et de l’objet à l’homme, on peut dire que la
personne
est l’impensable incarnation de l’éternité dans le temps. La personne
29
sable incarnation de l’éternité dans le temps. La
personne
pure serait ainsi la coïncidence absolue et manifeste d’une vocation
30
lieu et place d’un individu. La psychologie de la
personne
parfaite se réduirait purement et simplement à son histoire, à l’énon
31
ustifiée en raison. D’où vient alors l’idée de la
personne
, et ce regret d’une dignité que la raison des peuples et des clercs s
32
accorde à révoquer en doute ? L’imagination de la
personne
à l’état pur resterait à nos yeux une espèce d’utopie ontologique, si
33
aite de Jésus-Christ est la limite atteinte de la
personne
dans l’histoire, le fait extrême, le concretissimum à partir duquel n
34
partir duquel nous puissions penser activement la
personne
, c’est-à-dire réduire la distance qui sépare notre vie de notre vocat
35
vocation. La foi au Christ, c’est la foi dans la
personne
par excellence : or, cette foi consiste en une action16. (Ce qui conf
36
rme nos propositions sur la nature actuelle de la
personne
). La foi au Christ est proprement ce qui « personnifie » le solitaire
37
tout », nous avons à connaître cette vérité de la
personne
: qu’elle est toute dans sa communication, laquelle doit être certifi
38
ertifiée par quelque signe matériel. L’idée d’une
personne
isolée ou n’entretenant avec les autres que des rapports distants et
39
iction in terminis. L’aspect communautaire de la
personne
, en vérité, ressort assez clairement de nos définitions, mais il peut
40
un processus d’isolation. Quel rôle peut jouer la
personne
dans cette image ? Peut-être celui de la valence, c’est-à-dire de la
41
laisser ce modèle mécanique, puisqu’aussi bien la
personne
en elle-même n’est passible d’aucune description objective. Par rappo
42
on objective. Par rapport à l’ensemble humain, la
personne
est par excellence le terme premier, dont dépend toute réalité collec
43
e de retomber ici dans un ordre contractuel où la
personne
abritée par la loi perde à la fois son risque et son pouvoir de créat
44
de création (démocratie libérale). Le droit de la
personne
à primer sur l’ensemble demeure indéfendable s’il n’est pas imposé pa
45
es nombres plus grands, du pouvoir prochain de la
personne
; il n’est rien s’il n’est pas l’extension naturelle du risque et du
46
abord des hommes présents les uns aux autres ? La
personne
ne sera pas au terme d’une société parfaite, pour la simple raison qu
47
t humain réel que par l’apparition première de la
personne
, fondement nécessaire et suffisant de toute communauté vivante et pro
48
ivante et progressive. 9. Deux négations de la
personne
Et maintenant, si nous savons ce que nous appelons : personne, si
49
maintenant, si nous savons ce que nous appelons :
personne
, si nous savons qu’elle est la lumière de nos lumières, et le soleil
50
, notre devoir est d’éclairer. À la lumière de la
personne
, on voit paraître la vérité de plusieurs doctrines humaines qui s’ent
51
et spiritualisme. Voici l’aspect de vérité que la
personne
éclaire en eux : le matérialisme a compris qu’il y a pour l’homme un
52
santé dans le matérialisme, et une humilité où la
personne
retrouve l’un des pôles de sa tension. Peut-être est-il plus difficil
53
t ce plan que nous avons quitté en définissant la
personne
comme un acte. Hors l’acte, la matière demeure abstraite ou tyranniqu
54
re se mesurent et se réalisent : la charité de la
personne
est d’ordonner ce corps-à-corps. 10. Le spirituel Descartes a d
55
ps. 10. Le spirituel Descartes a détruit la
personne
, ou plutôt son lieu naturel, en séparant le corps et l’âme : c’est qu
56
qu’il les a mal distingués. Du point de vue de la
personne
, le corps et l’âme sont deux aspects de l’homme concret, dont la natu
57
e l’idée du concret cesse d’être une idée, que la
personne
existe et que l’acte transforme. Ce qui témoigne en moi de l’indicibl
58
sa vocation, qu’un doute ; mais la fidélité de la
personne
n’est pas vaine. Dans la très confuse partie que nous menons, ignoran
59
orps. i. Rougemont Denis de, « Définition de la
personne
», Esprit, Paris, décembre 1934, p. 368-382.
60
rs relations. On serait tenté de dire : dans leur
personne
. Je connais peu de livres moins conventionnels. Pour cette raison d’a
61
équivalent dans notre littérature d’après-guerre.
Personne
n’en a parlé : on s’occupait du prix Goncourt et des travaux d’amateu
62
sans doute, c’est qu’ils croyaient bien faire. Et
personne
à ma connaissance n’a mis en question leur sérieux, ce qui précisémen
63
à que les rudiments de la morale de leur état. Et
personne
n’a jamais contesté la grandeur d’un désintéressement de cette espèce
64
ume n’est pas de ce monde ? Ce royaume n’eût gêné
personne
, tout semblable à celui des clercs. On lui eût donné son Palais. Mais
65
gard de ce qu’ils ont à dire, qui les dépasse, et
personnes
parfaitement responsables de ce qu’elles ont à donner, qui est à tous
66
e la loi, ce qui exige une décision prise par une
personne
responsable. 34. « Nous éprouvons une sorte de honte à poser les que
67
sa fin. On n’imagine pas d’aborder l’œuvre et la
personne
de Ramuz d’une façon systématique. Non que cette œuvre et cette perso
68
façon systématique. Non que cette œuvre et cette
personne
ne comportent aucun système : mais il est si totalement exprimé qu’on
69
» d’un auteur authentique, c’est aussi décrire sa
personne
, à la manière du physiognomoniste plutôt qu’à celle du psychologue. M
70
s les plus simples de la vie. 2. Formule d’une
personne
« Leur poésie ne commence pas pour eux avec le commencement de leu
71
ommence pas pour eux avec le commencement de leur
personne
; elle ne commence à vrai dire que là où leur personne prend fin. Ell
72
nne ; elle ne commence à vrai dire que là où leur
personne
prend fin. Elle n’est pas dans le contact aussi direct que possible a
73
: « Sa poésie commence avec le commencement de sa
personne
; elle prend fin là où commence, pour lui, l’impersonnel. Elle est da
74
nique de l’œuvre de Ramuz, et la définition de sa
personne
en exercice. « Je ne distingue l’être qu’aux racines de l’élémentaire
75
ation de la vision par l’acte. Instauration de la
personne
dans la tension entre l’objet et la volonté formatrice. Rédemption pa
76
un art dont la genèse se confond avec celle de la
personne
. Dans un essai où je crois distinguer l’aveu de soi le plus direct qu
77
et l’authentique raison d’être, l’identité d’une
personne
en communion, je vois, j’apprends, j’entends la voix d’un homme. N’es
78
aille jusqu’au terme. Le fondement dernier de la
personne
est témoignage. Témoigner, c’est peut-être risquer en dépit de tout e
80
toute création culturelle, qui jaillissent de la
personne
, de l’aventure personnelle, de la liberté et du risque personnels. 3.
81
ommune ne sera pas collective, extérieure à notre
personne
: cela n’a pas de sens pour nous. Elle ne sera pas non plus individue
82
r, recréer cette force, bâtir cette fédération de
personnes
et de groupes organiques, c’est obéir à notre vocation présente, mais
83
qui parle dans le vide, pour rien de grand, pour
personne
de concret, ni pour aucune communauté, — pour on ne sait quel « prest
84
ais ici, sont-elles efficaces ? Empêcheront-elles
personne
, à droite, d’abuser des textes les plus clairs, ni personne, du côté
85
à droite, d’abuser des textes les plus clairs, ni
personne
, du côté stalinien, de crier au trotskiste, au bourgeois ? (Si toutef
86
ans le monde capitaliste des monopoles privés, la
personne
humaine, cette grande force spirituelle, est traquée… — Le capitalism
87
é de l’homme sur l’économique ; affirmation de la
personne
comme valeur spirituelle absolue, par suite rejet du capitalisme et d
88
phrase de 16 lignes qui termine la page 229 ! Et
personne
n’a jamais manié la métaphore continuée avec une fantaisie (au sens a
89
le faisait Nietzsche, de Dieu l’Éternel, première
personne
de la Trinité, je ne vois plus, pour ma part, dans les déclarations d
90
les que : « C’est à la communauté unitaire que la
personne
emprunte sa forme et son être. » Les trois derniers mots définissent
91
ises que la politique idéale devrait partir de la
personne
. Elle doit tenir compte de la personne, et finalement favoriser son d
92
rtir de la personne. Elle doit tenir compte de la
personne
, et finalement favoriser son développement, mais d’une manière négati
93
ssence de toute saine politique de s’opposer à la
personne
, de limiter son expansion, de combattre en définitive le réel que nou
94
Une politique saine ne saurait donc partir de la
personne
, mais au contraire de l’impersonnel, pour se diriger contre la person
95
raire de l’impersonnel, pour se diriger contre la
personne
. C’est à ce prix qu’elle assurera quelque équilibre — et c’est tout c
96
namisme propre. Si l’État ne freinait plus, si la
personne
ne cherchait plus à triompher de tout ce qui n’est pas elle, le simul
97
le désordre est toujours à sens unique : c’est la
personne
qui cesse de se défendre, c’est l’anarchie qui renonce à ses droits.
98
. Il doit en permanence se déplacer au profit des
personnes
. (Au profit des irréductibles, dans le sens du jeu le plus libre des
99
c’est la suppression de l’État, la libération des
personnes
au moment où leurs disciplines se seront enfin harmonisées. (Dans un
100
e au moment précis où l’agressivité normale de la
personne
se retourne contre elle, au profit des tyrannies impersonnelles. C’es
101
temps ». (Je dis bien groupe, car il y a peu de «
personnes
»). 15 avril La sieste de la Marquise Nous espérions pouvoir dormir d
102
’agit là de « préjugés », comme disent les jeunes
personnes
en mal d’émancipation. C’est bien plus grave. C’est aussi grave que l
103
loger bien du monde. Des initiés, naturellement.
Personne
ne monte jamais là-haut, ni maréchaussée ni gabelle. Nous aurions des
104
eux, des intellectuels riches, c’est M. Benda, et
personne
d’autre. Et lorsqu’un autre fit observer, en mathématicien, que la gr
105
qu’il ne peut y avoir encore une orthodoxie de la
personne
, une société et une économie qui la soutiennent, et qu’elle maintienn
106
e moins d’une orthodoxie personnaliste. Mais de «
personnes
» qui savent que l’exercice de leurs libertés implique des engagement
107
osé à notre attitude, et à notre conception de la
personne
, l’idéal de « dépersonnalisation », ou d’anéantissement du moi, qui e
108
é, naturelle ou factice (ou « personnage ») et la
personne
. Et nous retrouvons alors ce qu’on pourrait nommer l’ascèse personnal
109
e personnaliste, la tension même qui constitue la
personne
et l’identifie, l’effort de l’homme pour transcender son petit person
110
s matérielles, ou sociales, ou nationales. Ce que
personne
n’a jamais eu l’idée de mettre en question parmi nous. Par exemple, d
111
l’opposition tragique à l’intérieur d’une même «
personne
», des vocations spéciales d’autres nations. Et c’est là notre vocati
112
de l’équilibre fondamental entre les droits de la
personne
et ceux de la communauté. 76. On disait en Allemagne, pendant la gue
113
spécial d’Esprit intitulé « Le problème suisse :
personne
et fédéralisme », coordonné par Denis de Rougemont et ouvert par une
114
mes fidèles, deux corps aptes à procréer, et deux
personnes
juridiques. Il se trouvait donc sanctifier les intérêts fondamentaux
115
lieux communs les plus usés des moralistes : mais
personne
ne peut plus le croire, à l’âge du film et du roman — nous sommes tou
116
t comme les signes certains d’une décadence de la
personne
chez les modernes, et d’une espèce de maladie de l’être. Presque tout
117
même pas du danger spirituel que fait courir à la
personne
l’éthique de l’évasion, qui est née du mythe.) D’où les multiples ten
118
hymen idéalement réalisé (d’après les recettes).
Personne
, que je sache, n’a encore osé dire que l’amour tel qu’on l’imagine de
119
ut rien fonder qui dure sur le mensonge. Il n’y a
personne
au monde qui puisse me combler : à peine comblé je changerais ! Chois
120
et que c’est un fait absolu, sur quoi se fonde la
personne
même des époux. Il faut bien voir que cette fidélité est à contre-cou
121
pas à fuir. Je dis qu’une telle fidélité fonde la
personne
. Car la personne se manifeste comme une œuvre, au sens le plus large
122
s qu’une telle fidélité fonde la personne. Car la
personne
se manifeste comme une œuvre, au sens le plus large du terme. Elle s’
123
uelque chose qui n’était pas, mais que l’on crée.
Personne
, œuvre, et fidélité : les trois mots ne sont point séparables ou conc
124
chance de faire œuvre, et d’accéder au plan de la
personne
. (À condition bien entendu que cette promesse ne soit pas faite pour
125
détour, à travers l’autre, que le moi rejoint sa
personne
— au-delà de son propre bonheur. Ainsi la personne des époux est une
126
ersonne — au-delà de son propre bonheur. Ainsi la
personne
des époux est une mutuelle création, elle est le double aboutissement
127
et son naturel égoïsme, c’est cela qui édifie la
personne
. À ce terme, on découvrira que la fidélité dans le mariage est la loi
128
son amour pour une femme en la traitant comme une
personne
humaine totale, — non comme une fée de la légende mi-déesse mi-baccha
129
nouvelle, inconnue au monde de l’Éros : comme des
personnes
, non plus comme des reflets ou des objets. Cet « exercice spirituel »
130
on efficace : ce n’est plus elle qui détermine la
personne
. En d’autres termes, on pourrait dire que la fidélité se garantit ell
131
ssance fatale qui agissait en lieu et place de ma
personne
. » Pieux mensonge du servant d’Éros. Mais de combien de complaisances
132
as encore en mesure de concevoir la réalité de la
personne
chez la femme. C’est autant dire qu’il ne sait pas encore aimer. Le v
133
il se refuse à une violence qui nie et détruit la
personne
. Il prouve ainsi qu’il veut d’abord le bien de l’autre. Son égoïsme p
134
Nous, nous cherchons la densité de l’être dans la
personne
distincte, sans cesse approfondie comme telle. « D’autant plus nous c
135
ps les conditions profondes de la fidélité, de la
personne
, du mariage, — et du refus de la passion. Elle suppose l’acceptation
136
ions nationalistes : tout ce qui tend à ruiner la
personne
. Mais ce sont là des phénomènes complexes et collectifs, qui échappen
137
s sur des institutions solides, à la mesure de la
personne
. Il se peut que les excès mêmes de la passion provoquent et recréent
138
autre, par l’admission de sa vie étrangère, de sa
personne
à tout jamais distincte, mais qui offre une alliance sans fin, initia
139
on s’écarte de l’espèce pour se rapprocher de la
personne
, plus le choix devient singulier. À cette personnalisation de l’être
140
que l’on reconnaît dans un être la totalité d’une
personne
. La personne selon la fameuse définition kantienne, c’est ce qui ne p
141
nnaît dans un être la totalité d’une personne. La
personne
selon la fameuse définition kantienne, c’est ce qui ne peut être util
142
t R. Marx. ax. Rougemont Denis de, « Mariage et
personne
(II) : l’amour action, ou de la fidélité », Esprit, Paris, novembre 1
143
ériel hétéroclite de textes, de dates, de noms de
personnes
et de lieux, de chiffres, de relations de gestes et de paroles, matér
144
onde. La fédération sera l’œuvre de groupes et de
personnes
qui prendront l’initiative de se fédérer en dehors des gouvernements
145
rnements nationaux. Et ce sont ces groupes et ces
personnes
qui formeront le gouvernement de l’Europe. Il n’y a pas d’autre voie
146
ime totalitaire. Enfin, à l’homme considéré comme
personne
, à la fois libre et engagé, et vivant dans la tension entre l’autonom
147
signifie, à vous en croire, que deux millions de
personnes
déplacées, la torture et « notre désastre spirituel » sont sans impor