1 iquement beaucoup de clercs ; il a compris que le phénomène homme ne se produit en fait qu’au niveau des objets, et que tout ce q

2 formule de ce style est la contagion. Je mets ce phénomène en relation avec la théorie de la métaphore qu’on trouvera p. 257. Th

3 it à cet égard la révolution hitlérienne comme un phénomène incomparablement plus important que l’établissement brutal de l’étati

4  Il y aura lieu de ramener l’action du poète à un phénomène de mimétisme par son assimilation à un objet extérieur » (p. 283). Au

5 .42 » ⁂ « Qu’on n’aille pas chercher derrière les phénomènes  : ils sont eux-mêmes enseignement », dit Goethe. Il n’y a rien à voir

6 la faculté du concret chez un homme.) ⁂ « Car le phénomène de l’art est un phénomène d’incarnation (ce que l’école ne comprend p

7 z un homme.) ⁂ « Car le phénomène de l’art est un phénomène d’incarnation (ce que l’école ne comprend pas). » Toute l’esthétique

8 leur sens étymologique, c’est toujours revenir au phénomène de l’incarnation, c’est retrouver la langue à cet état naissant dont

9 rc y perd ses droits et n’est plus à l’échelle du phénomène … Raison de plus, chance de plus, d’essayer d’élargir cette critique,

10 l ne tient pas compte des dimensions profondes du phénomène collectiviste, et de la nécessité cosmique qu’il exprime. Les critica

11 nc à son détriment, surtout lorsqu’il s’agit d’un phénomène spirituel et culturel de première importance. Ensuite, cette impartia

12 « ne sont pas autre chose » que des photismes, «  phénomènes d’automatisme sensoriel de nature hallucinatoire ou pseudo-hallucinat

13 he. Essayer de prendre conscience de la nature du phénomène , c’est à quoi se résume l’ambition des analyses qui précèdent ; mais

14 naissance plus exacte et largement vulgarisée des phénomènes sexuels. L’abondance même de ces recherches92 et de ces recettes me r

15 ui tend à ruiner la personne. Mais ce sont là des phénomènes complexes et collectifs, qui échappent en partie aux vues individuell