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s on a peur, en le combattant, de parler comme un
philistin
. (Ce qui se produirait fatalement !) Ainsi l’on passe avec une feinte
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solument valables. De tous temps, les raisons des
philistins
ont eu mauvaise conscience devant les ironies du romantique. Mais ell
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mme qu’il n’ait déjà mieux dit ? Il a su louer le
philistin
et le romantique, et leur donner raison au point de leur faire honte
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êmes ; mais à la fin il n’écrase pas seulement ce
philistin
qui se contente d’épouser la veuve du brasseur, ou ce jeune fou qui a
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, si je l’atteins trop aisément, je deviendrai le
philistin
que dénoncent les romantiques, ou l’homme moral pris dans les rets so
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n créatrice. De fait, cela n’est pas possible. Le
philistin
qui « condamne » de la sorte et à priori toute passion, c’est qu’il n