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st pas ici pour parler de théologie et de subtile
philosophie
». André Philip, défenseur de Martin, lui répondra non sans violence
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de bolchévisme qu’il décrit ainsi : « Dans cette
philosophie
et cette morale est délibérément supprimée toute idée de liberté, tou
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r formulé l’équivalent de ce préjugé en termes de
philosophie
. C’est d’avoir enseigné au peuple un culte de l’esprit intemporel — c
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niser en belles séries, selon les exigences d’une
philosophie
tantôt matérialiste, tantôt idéaliste, tantôt marxiste et tantôt hégé
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et désordonnée des gestes de l’humanité. Pour la
philosophie
, non contente d’avoir sophistiqué l’histoire, elle veut se réduire à
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t sans précision, c’est un grand résultat pour la
philosophie
; mais c’est une abdication de tout rôle actif. L’avenir est à ceux q
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« La science maîtresse, le souverain… ce sera la
philosophie
, c’est-à-dire la science qui recherche le but et les conditions de la
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e que le passage du droit au fait (du droit de la
philosophie
au fait de son gouvernement) s’opérera sans qu’il y mette les mains.
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u à peu, Renan découvre (« grand résultat pour la
philosophie
») que la science ne saurait régner qu’in partibus, dans un monde pur
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t en sens inverse. Elle agit tout d’abord dans la
philosophie
: la ruine des grands idéalismes est consommée par le triomphe des ph
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fait pas un art avec un point de vue d’art, ou de
philosophie
, ou de morale, mais en refaisant une société où l’art exerce une fonc
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rnier événement nietzschéen : L’Introduction à la
philosophie
de N. publiée par Karl Jaspers. Je signale ce grand livre à ceux qui
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poser ce problème, très brièvement, en termes de
philosophie
et d’éthique personnalistes. On a souvent opposé à notre attitude, et
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, dans la musique ou la peinture, la poésie ou la
philosophie
. Et peut-être ne serons-nous jamais aussi grands qu’aucune d’entre el
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ord, mais aussi dans celui de la culture et de sa
philosophie
. Au terme de cet essai, il suffira sans doute de dégager le principe