1 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
1 st quantité, et que nous désignons sous le nom de poésie  ». On peut toujours évidemment « désigner sous le nom de poésie » tou
2 eut toujours évidemment « désigner sous le nom de poésie  » tout ce que l’on veut. Mais si je crois aussi, avec Arnaud Dandieu
3 use et subversive. Tzara critique avec vigueur la poésie de propagande et le désir secret de « sécurité » qu’elle trahit. Il v
2 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
4 de la vie. 2. Formule d’une personne « Leur poésie ne commence pas pour eux avec le commencement de leur personne ; elle
5 bien facile de tirer une épreuve positive : « Sa poésie commence avec le commencement de sa personne ; elle prend fin là où c
6 ux, au langage noble, aux objets de vitrine, à la poésie poétique, à nos formes habituées. Il prétend qu’il lui a fallu quinze
3 1937, Esprit, articles (1932–1962). Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours (mars 1937)
7 Béranger : « Elle est la colonne de Juillet de la poésie française : une suite de tableautins sentimentaux, libertins, patriot
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)
8 apporte la conférence d’Éluard à Londres, sur la poésie surréaliste, résume tout le vrai et tout le faux de ce mouvement. Thè
9 ce mouvement. Thème, repris de Lautréamont : « La poésie doit être faite par tous. Non par un. » On a mis le poète sur un somm
10 banal, vulgaire, insupportable, impossible. » La poésie est chose commune, communautaire. (Éluard dit d’ailleurs : égalitaire
11 égalitaire, — d’une manière incompréhensible.) La poésie « s’applique… à refuser de servir un ordre qui n’est pas le sien ». C
12 d’innocence et de grâce, et il n’y aurait pas de poésie — ni de prière — s’il n’y avait pas, consciente ou non, cette espéran
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
13 s tour à tour, dans la musique ou la peinture, la poésie ou la philosophie. Et peut-être ne serons-nous jamais aussi grands qu
6 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
14 e, devient alors pour le lecteur non averti une «  poésie  » équivoque et brûlante. Poésie toute profane d’apparences, dont la p
15 non averti une « poésie » équivoque et brûlante. Poésie toute profane d’apparences, dont la puissance de séduction s’accroît
16  : dernier relent de la mystique primitive. De la poésie à l’anecdote piquante, la passion c’est toujours l’aventure. C’est ce
7 1938, Esprit, articles (1932–1962). Revue des revues (septembre 1938)
17 enu au cacho[t], durant près d’un demi-siècle, la poésie de la France », mais qu’il nous la ramène (sans calembour), aussi fra
8 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
18 domaines les plus divers : le culte du nombre, la poésie de l’évasion, l’envahissement de la culture par les passions national
9 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
19 l’historien compose des faits, comme le poète une poésie . Que faut-il pour écrire un sonnet ? Des contraintes rhétoriques et d