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re christianisme contre le monde, comme une force
positive
contre une force de même ordre. Assez de cette « politique chrétienne
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nécessité intérieure, — c’est-à-dire sans message
positif
et populaire — n’ait été finalement utilisée par des puissances qu’el
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ne me propose pas du tout de décevoir ce goût de
positif
que mes contemporains, à tort et à travers, opposent à toute critique
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’affirment dans l’Europe d’aujourd’hui. Ce projet
positif
présente un gros défaut pratique : il conduit à poser de vraies quest
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muz, dont il est bien facile de tirer une épreuve
positive
: « Sa poésie commence avec le commencement de sa personne ; elle pre
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nes médiocres. Vous donnez par exemple une valeur
positive
à un principe fédéraliste qui ne traduit historiquement — de même que